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Aides et conseils pour les consommateurs de cannabis et leur entourage

Témoignages

Questionnaire d'évaluation du site Stop-cannabis.ch

Merci de prendre 3 minutes pour répondre à quelques questions au sujet de ce site

Comment j'ai arrêté de fumer
gregoire06 (21 ans) - Nationalité francaise - 25 octobre 2012 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour !! Donc voila, je viens poster mon témoignage ! J'ai donc arrêté le cannabis depuis 1 an et 7 mois . J'ai aujourd'hui 21 ans et j'ai commencé à l'âge de 14 ans . Comme beaucoup de gens j'ai commencé par quelques joints avec les potes en soirée au bahut avant les cours et j'en passe .. Et puis petit à petit sans m'en rendre compte je suis devenu accro, j'adorai fumer, je me sentais libre , rigolo , en parfaite harmonie avec le monde et le reste des gens qui m'entouraient et de plus ca me permettait d'être heureux et d'oublier mes soucis qui m'ont beaucoup affecté dans mon passé , (décés de mon père, obésité, trouble obsessionnel compulsif, petite soeur handicapé..) j'ai donc de ce pas sombré entièrement dans ce vis. pour pouvoir m'en procurer j'ai voler un nombres inccalculable de fois la carte bleu de ma mère pour retirer des sous ... chose qui m'a fait énormément souffrir par la suite . Pour continuer mon histoire, je ne me suis pas arrêté au cannabis , comme beaucoup de fumeur j'ai voulu testé autre chose , j'ai donc goûté plusieurs drogues comme la cocaïne , les champignons, les ecstasy, la MD qui est un dérivé de l'ecstasy, du speed (par contre, toujours à titre d'essai je n'ai jamais sombré dans tout ce qui est drogue dur) , suite à tous ca j'ai grandi et lorsque j'ai eu 18 ans j'ai quitté mon foyer familiale afin de poursuivre mes études , libres à moi-même j'ai passé deux années à fumer énormément (environ 15-20 joints par jour) et oui commencer à jouer de la guitare et se retrouver seule ça n'aide pas beaucoup ! Au milieu de ma 2 eme année j'ai rencontré une fille (avec qui je suis toujours actuellement) fumeuse elle aussi nous fumions forcement ensemble , un beau jour bête comme nous l'étions nous avons voulus testé une drogue qui est à la base un médicament pour la toux (DXM) mais lorsque que l'on surdose ce dernier les effets sont très très fort. C'est donc ce jour que commence l'une de mes plus terrible soirée de toute mon existence ! Nous avons avalés ces medocs , 30 min après grosse monté, et la ! le plus gros bad , je me sentais devenir fou , j'étais pas bien, je ne comprenais plus rien , plus aucunes notions du temps plus conscience du réel nous ne pouvions plus marcher, plus parler, et cela à durer 20 h . C'est donc à partir du lendemain que je me suis dis : "LE CANNABIS ET LA DROGUE C'EST FINI" Depuis ce jour, j'ai refumé 2 fois et je ne peut vraiment plus , cela ne m'intéresse même plus , je préfère boire 2 - 3 verres avec les copains en soirée plutôt que de fumer , d'ailleurs j'ai énormément changé mon cercle d'amis juste à cause de ça .. Je me suis rendu compte qu'on ne vivait plus dans le même monde . Suite à mon arrêt j'ai eu un peu de mal à surmonter , j'ai été perturber longtemps de ma derniere experience, De plus le fait d'avoir stopper le canabis je suis tomber en depression du fait que tout mes problème que j'ai pu cacher pendant tant d'années remontaient à la surface ... VOila Voila !!!! Je suis désolé de vous avoir raconté un peu ma vie de A à Z , mais partager ces experience me tenait à coeur . J'aimerai vraiment vous faire passer un message en vous disant que même si le canabis ca vous parait génial , que vous prenez ca comme un relaxant en rentrant de chez vous , que ca vous permet de vous ouvrir l'esprit dans les branches de l'art etc etc etc .... La vie c'est pas ca ! Ne vous décourager pas, même si vous êtes pas bien pendant quelques mois / 1 ans sachez qu'au final vous en sortirez que mieux et que vous verrez le monde d'une autre façon et que votre vie sera beaucoup plus enrichissante , active , belle , que vous retrouverez des vrai valeur de nouvelles motivations etc ... Si je peux vous apportez réconfort ou conseil , sachez que je me tiens à votre dispo pour en parler En tous les cas je vous souhaite du courage et de la bonne volonté !! "
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Anonyme (50 ans) - 15 mars 2019 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour, Cela fait deux jours que j ai stoppé ma consommation de cannabis.J ai toujours été une fumeuse depuis mon adolescence.J ai 50 ans aujourd’hui. Au début comme tout le monde on fume un pet pour ne pas passer pour une idiote puis l'habitude et le "besoin"s'installe. Je suis arrivée à une consommation de presque une barrette par jour.Non seulement ma vie se déroulait sans moi (travail, enfants..)mais économiquement j étais toujours juste évidemment. Je ne suis pas fière de ça et si je parle aujourd’hui au passé de cette situation alors que ça ne fait que deux jours d arrêt, c'est que j ai la ferme attention d arrêter. J ai eu comme une évidence d'un coup après toutes ces années... C'est dur car j ai tous les symptômes du manque : je n ai pas faim depuis 2 jours, je pleure pour rien, je tremble, je ne dors pas et j ai des sueurs tout le temps..Mais je vais tenir bon car je l ai décidé :)"
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Gag 66 (48 ans) - Nationalité française - 24 février 2015 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Me revoilà 18 mois après mon double arrêt Cannabis – tabac. J’ai failli craquer 100 fois, des envies furieuses parfois qui poussent à renifler discrètement la fumée des fumeurs dans la rue ! Heureusement, la motivation se renouvelle par des symboles auxquels je me suis raccroché ; Le passage des un an, aussi puissant que le Cap Horn pour les marins, le bouclage des 4 saisons avec chacune ses difficultés (l’été fut plus dur que l’hiver). Mais l’oubli et la libération me paraissent encore inaccessibles malgré des bienfaits indéniables sur la santé, la peau, le sommeil et le porte-monnaie : 2400 euros non dépensés sur la période ça le fait ! Par contre, je pense comme le disent des ex-fumeurs que l’on est et on restera « fumeur à vie » dans un coin de sa tête. C’est pour cela que je travaille toujours sur le pourquoi de la chose, le mystère qui m’a poussé 25 ans à faire un truc aussi inutile et négatif ... La culture, le sport et les échanges m’aident tout en essayant de préserver un équilibre sans tomber dans des dépendances et des excès. Le bonheur sera de ne plus compter et de ne plus y penser sauf pour donner un petit témoignage sur le site… "
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Anonyme (61 ans) - Nationalité France - 30 juin 2021 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Salut, je consomme depuis 1982 j ai 61 ans. J ai stoppé il y a quelques mois en évitant les discours et institutions moralistes, comme quoi "c'est pas bien", "il ne faut pas"...Je peux dire que la conso m' a permis de mieux gérer ma dépression ayant eu un vécu assez lourd. D'un coté comme l'écrivait Baudelaire, le cannabis m 'a apporté beaucoup mais m 'a retiré beaucoup aussi, j ai souvent préféré la plaisir immédiat d un joint que le plaisir différé d une action, construire sa famille, son boulot, sa maison, cultiver ses talents et avoir une vie remplie. Là , après analyse de la situation je peux affirmer que la conso de cannabis ne m 'a pas aider à construire la vie que je voulais, si jamais j en avais imaginé une, c était celle d un type libre et indépendant. Certes, le cannabis m a rendu créatif artistiquement, ou m en a donné l illusion, mais ne m 'a pas permis de vivre de mon art. J ai stoppé la conso depuis quelques mois et même si j ai retrouvé des choses, de la vitalité, de l 'action, de l initiative, des relations et tout, je dois dire que ça laisse un vide, Et certains soirs d hiver quand le vent souffle, dans la solitude de mon atelier je pense à ce bon joint qui me tenais compagnie et me donnait l illusion de ne pas être seul. Un ami me dit "bah pourquoi arrêter alors, si tu n y trouve pas de plaisir" . C'est vrai qu 'à mon âge que puis je espérer, je ne pourrais jamais rattraper le temps perdu, ni construire quoi que soit, c'est comme trop tard pour recommencer. Ok c'est bien triste ce que j'écris, mais c'est ce qui t'attends si tu continues, si tu est jeune, ne confie pas ton avenir à ce plaisir éphémère que te donne le cannabis et pense à ce que tu peux construire, car comme pour moi ce sera trop tard et le temps passe vite."
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Xamenas (20 ans) - Nationalité France - 08 avril 2013 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Je me suis mis à fumer à l'âge de 17ans. C'était la mode au bahut, à chaque soirée il fallait au moins une barrette sinon on passait une mauvaise soirée. Et t'étais personne si tu fumais pas. Je fumais seulement aux soirées au début. Puis petit à petit... plus le temps passe plus on s'y habitue. On commence à fumer en secret chez soi, ça devient le joint du WE. Après le décès de mon père, la séparation avec ma copine et le peu de vie sociale qui me restait... Je me suis vraiment mis à fumé. Le joint du WE s'est transformé en six à sept joints par jour. Ça a duré deux longues années. Les jours se succédèrent... Je commençait à perdre beaucoup d'argent, bien plus que je l'imaginais d'ailleurs... Des amis aussi. Sans le vouloir je devenais moins sociable. Le fait de ne pas avoir ma consommation personnelle avant d'aller me coucher était impensable. Le stress et la paranoïa s'installe, j'y prête même pas attention. L'heure à laquelle je me lève se transforme en heure à laquelle je me couche. Ce qui m'a vraiment "tuer" avec cette merde c'est le manque de volonté total. Ne plus plus être motivé au point de ne pas me lever le matin pour aller en cours, pour aller chercher un emploi, un logement... Pendant ces deux années la j'ai rien foutu. Mais ça m'allait, je pensais à une meilleure vie et essayer de trouver un moyen de m'en sortir, alors qu'en vérité je n'agissais pas. Et puis un soir avant d'aller dormir j'ai eu ce "déclic" dans ma tête. J'ai fais une liste pour savoir ce que ça m'apportait vraiment à fumer le cannabis. Et rien. Absolument rien. A part des emmerdes. Je me suis rendu compte que si je voulais reprendre mes études, déménager et redémarrer une nouvelle vie. Je ne pourrais jamais le faire en continuant de fumer ainsi. Je n'aurais jamais les sous pour payer le loyer, pas la motivation d'aller en cours, et aucune vraie réflexion. Et j'ai arrêté du jour au lendemain. Ça fait seulement que quelques jours que j'ai arrêté mais... Je suis déterminé. Il faut trouver ce "déclic", trouver le côté positif au fait d'arrêter de fumer, à tout ces avantages. Et il faut aussi trouver un moteur, quelque chose qui te donne et qui te pousse à arrêter de fumer. En tout cas je souhaite bonne chance à tout ceux qui arrêtent tout comme moi :) "
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Jerem (24 ans) - Nationalité France - 26 mai 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour à tous, ce qui suit est écrit alors que je suis en plein sevrage et j’espère que cela pourra aider certains à passer le cap pour arrêter. J’ai 24 ans, j’ai fumé mon premier joint à 14 ans, et je fumais au moins un joint par jour depuis que j’ai 16 ans. Au début, c’est cool, c’est festif, c’est drôle. Puis on fume de plus en plus avec les copains, et très vite sans les copains, seul le soir dans sa chambre en cachette, ou dans mon cas devant ses parents, tous les jours, tous les soirs. A 17 ans, j’ai mon bac avec mention et mes parents me voient comme un élève studieux, curieux, sans histoire même si je fumais déjà tous les soirs depuis quelques années. Après le bac, arrive les véritables problèmes : la fac, le boulot. Premier mois de fac, je décide d’arrêter pour me concentrer pleinement sur mes études : ca fonctionne et pendant 1 mois je ne touche pas un joint, je suis très motivé par mes études et étudie beaucoup. Puis je me trouve un boulot d’étudiant, parce que depuis que je ne fume plus, j’ai beaucoup plus de temps, je suis beaucoup énergique et motivé. Le boulot est dur, surtout au début, et le joint me manque... Je retombe dedans comme je n’étais jamais tombé avant. Je ne vais plus à la fac, je me trouve un autre boulot et mes journées sont rythmées par le boulot, la fumette et l’obtention de cannabis. L’année d’après est pire encore, je vous passe les détails. Sans que je m’en rende vraiment compte, cela a été une véritable descente aux enfers pendant 5 ans, des années ponctuées par la dépression, le mal-être... Tout ce que je gagnais durement, je le dépensais dans le cannabis. Moi qui étais studieux, je ne vais plus à la fac, je fume littéralement du matin au soir, tous les jours, et ne fais strictement rien à part regarder des films et des séries, devant lesquels je m’endors la plupart du temps après un joint trop chargé. J’ai essayé d’arrêter des dizaines et des dizaines de fois, je suis allé consulter, j’ai essayé l’hypnose thérapeutique, mais rien ne fonctionne durablement. Je finissais toujours par replonger après 1 semaine de sevrage. Le mal-être est grandissant d’année en année, d’autant plus que la comparaison à mes amis et à mes proches est douloureuse... Ils réussissent ce qu’ils entreprennent, ils sont motivés, ils progressent... Et moi je stagne, voire pire, je régresse, le cannabis m’abrutie totalement, je me sens séquestré dans mes habitudes. J’ai énormément fumé pendant le confinement, même si j’ai réussi à me limiter à 2 joints par jour pendant 1 semaine, et même à ne pas fumer pendant 2 ou 3 jours. Inévitablement, ça reprend. Et à chaque fois, c’est pire, à chaque fois, les joints sont plus gros, plus chargés. Presque à chaque fois, « c’est le dernier joint, puis j’arrête » ; systématiquement, je me retrouve le lendemain à tout faire pour m’en procurer. Ma vie est sur pause depuis 5 bonnes années, à cause de ma consommation et ma dépendance sévère au cannabis. J’en ai eu plus que marre, de ne rien faire, de ne jamais finir ce que j’entreprends, de n’être motivé pour rien à part l’obtention de cannabis (oui, pour aller chercher mon herbe ou mon shit, là je suis motivé!). Ce n’est plus possible. Je suis convaincu que j’ai le droit au bonheur, le droit à la réussite autant que les autres, mais pour cela il faut que je me surpasse et que j’arrête définitivement de consommer avant que la consommation ne m’arrête définitivement. J’ai la chance d’avoir mon meilleur ami qui traverse la même phase que moi, et avec qui j’échange quotidiennement sur mes tracas, mes envies de « craquer » et d’aller acheter du cannabis. Il me soutient et me rappelle pourquoi nous avons décidé d’arrêter : nous voulons vivre notre vie. Aujourd’hui, j’en suis à mon 9eme jour sans cannabis. Je ne dors pas encore correctement, mais je me sens déjà mieux, paradoxalement je me sens même moins irritable et plus serein. Pour autant, les pensées liées au produit sont récurrentes tout comme les insomnies, les crises d’angoisse. C’est très dur, même si je compense avec des cigarettes et parfois l’alcool (je sais que ce n’est pas bien mais je ne m’autorise à boire que les deux premières semaines de sevrage). Mais je ne lâcherai rien car je veux vivre. Vivre comme un être humain normal et non comme un drogué. Si j’en suis là, c’est en grande partie grâce à mon meilleur ami qui m’aide énormément, et que je remercie du fond du coeur pour sa présence. Si quelqu’un se sent seul dans son sevrage ou souhaite tout simplement échanger pour se motiver à arrêter, je serai ravi d’aider comme je suis aidé. J’espère sincèrement que nous nous en sortirons, tous. "

Anonyme (64 ans) - Nationalité Francaise - 02 avril 2018 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Merci de votre aide j'aime bien ouvrir votre site je peux vous dire qu'à l'heure actuelle j'ai réussi l'arrêt total du THC encore un peu de nicotine malheureusement voir 4 à 5 cigarettes par jour je pense et savoir que je ne reviendrai pas en arrière une nouvelle vie commence je me suis fais aider par un entourage hospitalier pendant 2 semaines ce qui m'a permis de changer mon environnement perso je le conseille vivement pour les grands consommateurs j'ai toujours regardé votre site et le soir et encore merci à vous! Mike"
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Neos (31 ans) - Nationalité Suisse - 17 novembre 2012 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour, J'ai commencé à fumer des pets a 16 ans, mauvaise frequentation, vie monotone au plus au points et vie familiale prise de tête... Au début c'étais l'extase, un excellent moyen de fuir la vie quotidienne, a 16ans, pas facile de trouver l'argent pour sa weed, l'argent de poche et la paye de mon apprentissage y passais...je fumais 3/4 joints la semaine, le soir surtout après le boulot histoire de décompressé, se vider la tête... Que du bon. A mes 18 ans, mon père est mort, cela ma enfoncé un peu plus... J'ai évidemment raté mon apprentissage, et j'ai quitté la maison familial, c'était plus vivable.. J'ai trouvé un boulot pourri en usine et trouvé un appart, ainsi qu une femme merveilleuse,je fumais toujours le soir mais ce n'étais plus la même chose, mais avec un salaire ça devenait bcp plus facile de s en procurer. Lorsque j avais plus de beuh, je devenais fou, je retournai ciel et terre pour en dénicher, meme zoner dans des quartiers mal famé pour trouver un dealer... J'ai continué comme sa jusqu'a mes 30 ans. Un jour, j'ai eu un déclic, cette dépendance me rendait fous, je paranoiais pour un rien, je n'etais jamais motivé a faire quoi que ce sois au grand desespoir de ma copine, qui elle ne fume pas, bois pas. Bref je me suis foutu un magistrale coup de pied au cul et decidé d'arreter... Que faire? Arrêter progressivement ou arrêter d un coup, de manière brutale? Me connaissant, il fallait que ce sois radicale.. Pas de demi-mesure, et c'est ce que j'ai fais...le plus dur, c'est le soir, j'avais l'habitude, que dis je , le rituel de fumer mes pets devant la teloche,avant d'aller au pieu, ce rituel a durer 14ans. Mon sevrage a durer 2 semaines... 2 semaine ou tu la chie bien comme il faut... 2 semaines ou tu ne dors pas.. Tu transpire la nuit a te tourner et te retourner dans ton pieu, ta l'impression qu il fais 40 degrès, je me relevais la nuit, me faisais un verre de lait chaud, et lisais des témoignages sur le net de personne ayant arrêté, j'en avais les larmes au yeux... Et un soir, alors que j pensais passer une nuit pourri, j'ai dormi comme un bébé, et oui, tu galère 2 semaines, mais après, après tu démarres une autre vie, je te l'assure sa change tout. ça fait 1 an que je n'ai pas touché un pets, pas une taffe, rien, on m'en as proposé, et j'ai poliment refusé, et sa ma paru tout a fait normal. Pour conclure mon pavé, Je vais me marier, avec la merveilleuse femme de ma jeunesse, celle qui ma connu quant j'étais au fond, et un bébé pour (je l'espère) bientôt. Arrêter la beuh et a la porté de tous... Oui de tous sans exception seulement faut le vouloir. Merci de m'avoir lu et bonne chance Séb "
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Anonyme (23 ans) - Nationalité française - 23 novembre 2012 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour à tous, En pleine recherche je suis tombée sur ce site et j'ai eu envie de partager mon expérience avec le shit. J'ai commencé à fumer à 15 ans et jusqu'à mes 20 ans j'étais une consommatrice régulière : pas un jour sans un joint. En quasi perpétuelle défonce, sans vraiment me soucier de mon comportement je fumais avec légerté... Sauf qu'un beau jour, sans que cela ne prévienne, j'ai commencé à devenir complètement parano, je psychotais comme on dis. Je ne peux pas expliquer ce qu'il s'est passé (d'où mes recherches encore 3 ans après). J'ai cablé, j'étais persuadée que mes ami(e)s, ma famille, que tout le monde parlait sur moi (en mal évidemment). Je n'en dormais plus la nuit, je me refaisais mes journées dans ma tête, ce que j'avais dit, fais en me sentant ridicule ou inutile. J'ai coupé les ponts avec toutes mes connaissances et je suis resté enfermée plus de trois mois sans sortir de ma chambre. J'ai l'impression que personne n'a été choqué par mon comportement et je n'ai encore jamais à personne de cet épisode. Dans l'histoire de rares amis se sont préoccuper de moi... Du jour au lendemain je ne pouvais plus fumer, du tout. Aujourd'hui le shit me fais peur parce que j'ai quand même réussit à me débarrasser de cette parano et de la tristesse que j'ai éprouver à cette époque. Je vis une vie normale même si j'en garde des séquelles (impression d'être nulle, inintéressante, gêne de parler avec ces anciennes connaissances...). Je n'ai jamais pu comprendre ce qu'il m'est arrivé mais je suis persuadée que cela est dû au bedo. J'aimerais savoir si d'autres que moi on connus ça? Merci!"
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piercman (38 ans) - Nationalité France - 06 septembre 2017 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour J'ai 38 ans. J'ai fumé environ 20 grammes de cannabis par mois pendant près de 20 ans. Un jours pour des raison de bien être, de santé, et de sociabilité mais aussi un rapprochement familial j'ai pris la décision de mettre fin a ces 20 années de dépendance. Apres une grande hésitation et plusieurs tentatives solo pour arrêter, j'ai décidé de voir un médecin. Celui-ci ma prescrit plusieurs molécules en voici la liste: .Alprazolam (xanax) 0.25mg 4 fois par jour .paroxetine(anti-anxiolitique) 1 fois par jour le soir .zopiclone(hypnotique) 1 fois par jour au coucher Pendant 4 mois et pas un joint pas d'envie, pas de besoin, pas de trouble du sommeil et pas de manque. Depuis un mois je ne prend plus le xanax du matin ni le zopiclone au coucher et je dort bien. Il est probable que pour certain cela fasse beaucoup de medoc (c'était mon cas au départ). Mais au bout de 5 mois je revis MA VIE et j'envisage même l'arrêt complet du tabac . A bon entendeur salut et bon courage."
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