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Aides et conseils pour les consommateurs et leur entourage

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Aides et conseils pour les consommateurs de cannabis et leur entourage

Témoignages

Questionnaire d'évaluation du site Stop-cannabis.ch

Merci de prendre 3 minutes pour répondre à quelques questions au sujet de ce site

Comment j'ai réduit ma consommation
Anonyme (22 ans) - Nationalité Français - 02 septembre 2018 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour a tous, Voici donc mon parcours qui est finalement si classique : J'ai commencé à fumer vers 14 ans. D'abord festivement avec mes amis mais c'est vite devenu une habitude. On imagine toujours que tout sera plus drôle après avoir fumer : cinéma ? viens on fume avant, console ? on fume, plage ? idem, etc... De sorte que tout est prétexte à fumer, puis on commence à fumer seul et la dépendance s'installe. Ma consommation est devenue plus importante au fur et a mesure. Le cannabis m'a encouragé vers les mauvaises fréquentations, la petite délinquance (petits vols, raquette...), et le deal pour satisfaire ma consommation. Je tiens a préciser que je viens d'une famille aisée et mes parents ont tout essayer pour me sortir de là (discutions, menaces, psy) et m'ont poussé à faire des études. C'est d'ailleurs très certainement ce qui m'a empêché d’être un "ksos" aujourd'hui. Mes anciens amis n'ont pas eu cette chance, la plupart sont chômeurs et certains sont même en prison. Malgré le faite que j'ai aujourd’hui un travail convenable et une formation (BAC +3) ma consommation n'a cessé d'augmenter. Je ne fume pas la journée mais me "crame" le cerveau le soir. Le cannabis nous isole, même si on a des amis, ils sont tous fumeurs et il est souvent difficile de créer de nouveaux contacts. (l'inconnu qu'on rencontre parce qu'on a pas de feuille et avec qui on passe plusieurs heures ne compte pas !). Et je ne parle même pas de ma situation amoureuse catastrophique ! On a la flemme de tout, tout parait fade et sans intérêt. Ce qui est censé rendre le monde plus joyeux rend plutôt le monde plus triste lorsque l'on consomme tous les jours. Sans parler des moments où l'on n'arrive pas a s’approvisionner : je me suis retrouvé à insulter violemment mes amis/parents parce que le manque me rendait agressif et je me suis mis dans des situations dangereuses pour me fournir. Au bout d'un moment les joints ne suffisaient plus et je me suis tourné vers le bang (pipe à eau). Ce fut une de mes plus grosses erreurs. Au début ce mode d’inhalation me permettait de faire des économies drastiques en cannabis. (De 20g à environs 5g par semaine) mais très vite il m'a rendu plus dépendant, j'ai commencé à faire de plus grosses douilles et consommé quasiment autant qu'avant. Mon pic de consommation a été de 5/6 douilles par soir et de plus de 15 le weekend ou les jours où j'avais du temps libre. Si le cannabis est considéré comme une drogue douce (ce qui est discutable car c'est une drogue avec une dépendance très insidieuse, une dépendance d'habitude comme la clope) il devient une drogue dur lorsqu'il est fumé avec une douille. La défonce est plus forte tout comme la dépendance et les risques pour la santé. Au bout d'un an de douille j'ai commencé à avoir des traces de goudron dans mes crachats, à avoir mal aux poumons et a me sentir essoufflé. C'est ce qui me pousse aujourd’hui a essayer d’arrêter. Au moment ou je vous écris j'en suis a ma 1ére semaine de sevrage et ce n'est pas facile. J'utilise des gommes à la nicotine (car oui en plus de cella je fume 1 voir 1.5 paquets de clopes par jour) et une plante nommé Kudzu. Je ne sais pas si elle est réellement efficace mais ça m'aide un peu, peut être un effet placebo. Si j'avais un conseil à donner à un ado c'est de ne pas se réfugier dans le cannabis. La vie d'un ado peut être compliqué (rapports avec les parents, premières amours) et on peut se sentir mal dans sa peau mais le cannabis n'est pas la solution. Au début il vous soigne mais vous enferme par la suite dans un cercle vicieux . Et si les mecs "cool" de votre lycée/univ fument et bien je vous assure que vous pouvez être tout aussi cool (et surement plus longtemps) sans fumer. Et surtout ne consommez jamais avec un bang ! Je suis bien évidement disponible pour en parler en privé si quelqu'un en a besoin. PS : la cigarette et l'alcool ont beau être légaux et en libre service ils sont aussi très dangereux. Le maître mot est sobriété ! "

Anonyme (16 ans) - Nationalité Français - 08 octobre 2012 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Salut à tous :) J'ai 16 ans et demi, cela peu paraître jeune pour quelqu'un qui pose un témoignage mais je m'en fiche, vous en penserez bien ce que vous voudrez. J'ai commencé à fumer du cannabis quand j'avais un peu moins de 13 ans. Comme la plupart des gens, c'était pour sortir de l'ordinaire et me rattacher à un groupe qui (je pensais ça à l'époque) me ressemblait plus. Je me rend compte que ca a été, à ce jour, la plus grosse erreur de ma vie. Je fumais occasionnellement, puis ca a été tous les matins avant les cours et en sortant (à 13 ans c'est pas normal). J'ai finis par commencer à "pécho" (acheter) pour pouvoir suivre le rythme et ne pas toujours fumer sur le shit des autres. Après que je me sois mis à fumer seul, les problèmes ont commencé à arriver. Au début c'était seulement des pertes instantanées de mémoire (ca me faisait bien rire), puis je me suis décalé du rythme scolaire et j'ai commencé à secher les cours. Une fois par mois, puis une fois par semaine et j'ai finis mon année de 3e avec 190 journées d'absence et n'ai pas eu mon brevet. Pas très grave, me direz-vous ; sauf que c'était que la partie visible de l'iceberg. Mes rapports avec mes parents se dégradaient, jusqu'à devenir exclusivement des rapports de force. Les fugues ont commencé, et l'envie de suivre les cours m'a définitivement quitté. Les seuls amis qui me restaient étaient ceux avec qui je fumais tous les jours, et qui étaient dans la même situation que moi. Tout le monde s'inquiétait, mes parents ont tout essayé (psys, addictologues, éducateurs et même un séjour de 24h en hôpital psychiatrique ...) mais rien n'y faisais. L'année dernière, j'ai voulu leur prouver que je pouvais travailler et fumer ; j'ai tenu pendant 3 mois avec une moyenne "correcte" mais j'ai quand même fini par me faire virer de mon 6e bahut. J'ai eu une chance incroyable de retrouver un lycée, avec mon parcours, et je me suis remis en question. J'ai arrêté de mentir aux médecins, j'ai recommencé à aller en cours et j'ai surtout essayer d'arrêter de fumer. J'ai juste découvert le "vrai moi" (non, je ne suis pas skyzophrène), une autre manière d'envisager la vie. Cela ne veut pas dire qu'arrêter de fumer est facile. J'ai été "obligé" de changer les choses car je me suis retrouvé devant le Mur. Aujourd'hui, j'ai pris du recul et je me rends compte à quel point les jeunes de mon âge fument tous pour la plupart ; et à quel point c'est difficile de trouver des gens "intéressants" et qui ne fument pas. Tous le monde se met à fumer car ceux qui ont la force de caractère de ne pas suivre le mouvement finissent par craquer. Je n'écris pas ce message pour faire genre que j'ai de l'experience ou pour passer pour un "daron qui fait chier", juste pour faire passer un message : DEMARQUEZ-VOUS ! Pour moi, le 1er pas a été de reconnaître que j'étais accro et que je ne pourrais pas m'arrêter sans l'aide de médecins (et que continuer à leur mentir n'aboutirait a rien). Ensuite, ces gens vous expliquent beaucoup de choses sur le cannabis qui vous donne envie d'essayer d'arrêter. Contrairement à ce que je lis sur les forums (et autres sites), je ne pense pas que le 1er mois est le plus difficile. Je pense que le plus difficile sont les 6 mois qui suivent votre décision. Arrêter de fumer revient à déménager dans un désert. Il faut se constituer un nouvel entourage (ce qui prend du temps et demande beaucoup de patience et de motivation), se trouver de nouvelles occupations (quand on ne passe plus sa journée à fumer 10 joints, c'est sur que ca laisse des trous) : aller en cours et faire du sport c'est déjà un bon début ; et résister aux tentations (aujourd'hui, à Paris en tout cas, on est confronté absolument partout au cannabis ; demandez-vous comment on fait les alcooliques pour s'arrêter, ca peut motiver). Je ne sais pas si ce témoignage sera utile à quelqu'un, je l'espère. Mais sachez juste qu'à mes yeux, ceux qui arrivent à sortir du cannabis auront une force de caractère et une persévérance que les autres n'auront pas plus tard. C'est difficile et ca ne donne pas forcément envie, mais si vous continuez comme ca toute votre vie ; vous allez vous faire bouffer (ce que je n'espère pas). Amitiés Hugo."

Anonyme (27 ans) - Nationalité France - 14 juillet 2019 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Ca fait plus de 10ans que je fume régulièrement, j'ai assez vite commencé à fumé de grosse quantité, mais je réalisais bien que ce n'était pas sain alors j'ai essayer de réduire ma consommation depuis un ou deux an, cela fait maintenant quelques mois que je ne fumais "plus que" 50€/mois en moyenne, cela me convenait bien et c'est mon erreur. Aujourd'hui ca fait 1 semaine que j'ai arrêté, et je ressens les effets indésirable. Ils restent assez modéré, mais suffisament pour m'empecher de dormir. J'ai envie d'arrêter, mais j'ai peur de ne pas reussir à tenir un mois, j'ai envie de retrouver ma routine le soir et j'ai peur de ne pas reussir. Je me dis qu'heureusement j'avais déjà réduit ma consommation, j'ai toujours sous- estimé les effets du sevrages, et surtout ca durée. Je me rend compte aujourd'hui que c'est un vrai handicap d'être sous sevrage, et j'ai peur de rechuter, et d'avoir tout à refaire, encore et encore. Si vous voulez arrêter mais que vous n'y arriver pas, il faut commencer par réduire votre consommation, mais drastiquement. Je pense qu'avec un peu de rigueur, on peut réduire petit à petit, mais il ne faut pas juste réduire les doses, il faut réduire la fréquence un maximum, et surtout le soir avant de dormir, ce qui reste le plus compliqué. Il ne faut pas se contenter d'une consommation réduite, il faut toujours continuer à espacer de plus en plus vos consommations, tout en continuant à réduire les doses même si vous pensez que ca n'a aucun interet d'en mettre si peu. Même si ca revient à mettre quelques miettes, votre corps sera se contenter de si peu je vous garanti qu'il vaut mieux faire ça que d'arrêter d'un seul coup pour une raison ou une autre. Je pense que si j'avais continué à réduire les doses, j'aurai pas eu besoin de faire le tour du web pour connaître le temps de sevrage, ca passerai plus vite, et ca serai moins désagréable. Cherchez à vous occupez, un bon jeu vidéo peut faire l'affaire. Faut pas sous estimé pas le sevrage avec le cannabis. Le terme de drogue douce est trompeur, quand j'étais jeune je me pensais plus fort que ça. J'y croyais pas à l'addiction au cannabis, ca me paraissait anodin comparé à d'autres drogues et ca l'est bien heureusement, mais je vous garanti que dès que vous commencez à consommer régulièrement, vous allez vraiment le regretter le jour où il va falloir arrêter complètement, vous allez passer le mois le plus long de votre vie. Même si vous n'aviez pas une consommation excessive comparez à d'autres. Il faut vraiment que votre consommation soit presque négligable pour que ça se passe bien. Je comprend et j'entend tout les discours appelant à l'arret complet, et j'admire ceux qui ont réussi, mais je compati avec les gros fumeur qui n'y arrive pas, si vous voulez pas vous faire violence pendant 1 mois, réduisez un maximum. J'ai déjà fait pas mal de petit sevrage, et ils faut pas le prendre comme des echecs, tout n'est pas perdu au contraire, on est d'autant plus réceptif au cannabis après, donc on peut facilement réduire les doses à se moment là. Ne reprenez pas votre ancien rythme, et encore moins vos anciennes doses, ne vous en félicitez pas comme j'ai pu le faire, et continuer à réduire encore et toujours, et vous pourrez arrêter beaucoup plus facilement. C'est plus facile à dire qu'a faire, car une fois avoir réduit un petit peu on se dit que c'est déjà bien, et on se voit pas fumer encore moins que ça, mais ca n'est pas suffisant, ça demande une rigueur que je n'ai pas, mais si j'avais su que j'allais passer un mois de merde, j'aurai continuer à réduire encore et encore. J'ai pas assez planifier cette réduction, il faut la mesurer, et surtout toujours continuer à réduire. Mais c'est pas votre fournisseur qui va vous y aider, cacher une partie dans un endroit improbable, pas facile d'accès, et essayer de tenir le plus longtemps possible avec 1 gramme. Si vous réussissez à tenir une semaine vous aurez surement encore moins d'effet indésirable que moi, et j'espère que vous pourrez vous endormir sur vos deux oreilles. Ce n'est que mon avis mais pour vous donner une idée je pense que t'en qu'on passe pas en dessous de 2 grammes par mois ca restera compliqué. Ca me paraissait impossible, ca revient à juste "parfumé" très légèrement, mais le corps l'accepte relativement facilement, ca n'est rien comparé à ce qui m'attend pendant ce mois de sevrage."

Manu (51 ans) - Nationalité francais - 23 mars 2022 - Partager sur: Facebook - Twitter
"J'ai commencé à fumer tard, et m'y suis mis régulièrement il y a 5 ans. Pas de problème dans ma vie, juste le plaisir de la douce défonce, ce vertige et chute tranquille, on plane, on fait une super sieste. Au début je fermais les yeux et je voyais plein de chose, colorées, je voyais la musique, les aliments avaient une texture et un goût incroyable. Bref le plaisir, juste le plaisir. Cadre, bien entouré, en sécurité financière, sans aucun problème de confiance en moi, je ne pense vraiment pas que j'avais un truc à fuir. Juste le plaisir. Puis j'ai pris l'habitude, j'ai même fait pousser 4 plants. Puis les effets fun sont devenus moins forts. Depuis 1 an c'est 3 à 4 pétards par soir. Les visions sympa on disparu, même la foncedale. Je suis juste abruti par la beuh c'est tout et être avec des gens me pèse car je préfère m'allonger et sombrer dans la torpeur. Et il y a les effets secondaires, pernicieux, et socialement pénalisants. Pour moi c'était surtout plus de filtre dans ma parole. J'en ai dit des conneries ! l'agressivité verbale était incontrôlable. Et aussi l'impression que, loin après la prise, le cerveau coupe, black out pendant une fraction de seconde, ou impossible de me souvenir de trucs basiques, de noms. Mais je m'en rendais compte. Puis ça aussi ça s'est réduit, tout en continuant la conso. Et globalement j'avais l'impression que cela ne réduisait pas trop ma motivation, j'avançais, plus lentement certainement, sur mes projets. Et le joint ça me calme car je suis HP, "surdoué" qu'on dit, et ça tourne tout le temps tout le temps dans ma tête. Le joint m'apaise. Donc il est où le problème ? Le voici : je suis devenu physiquement dépendant, sans m'en rendre compte. Cela fait un 3 semaines que, à l'occasion d'un séjour long à l'étranger, j'ai choisi, "pour voir" de ne pas emporter de beuh. Ah qu'on ose plus me dire que le syndrome de sevrage n'existe pas ! A fleur de peau, je démarre au quart de tour, je ne dors que 3 heures par nuit, je suis épuisé, hypersensible au bruit, transit et appétit très perturbés. Chaque nuit je me réveille trempé de sueur dans mon lit. Et des sifflements dans les oreilles H24. Une belle descente ! Je n'aurais pas cru être si dépendant. Le positif : mon esprit s'éclaircit, je suis physiquement plus en forme malgré la fatigue, j'ai meilleure mine,, le visage moins bouffi, je ne me lève plus 3 fois par nuit pour pisser, j'ai envie de faire plus de choses, de retrouver des plaisirs oubliés, des concepts que mon esprit avait perdus de vue dans le brouillard confortable mais pernicieux. La vie c'est pour vivre, je me dis, pas pour s'ankyloser l'esprit. Surtout que je n'ai rien à fuir. Je refais du sport, mon esprit est plus vif. Je tente de contrôler mes insomnies avec du Lexo pour que mon esprit cesse de tourner en boucle la nuit. J'ai bon espoir. J'aimerais fumer encore un peu, mais c'est certain cela sera avec une fréquence beaucoup plus réduite et contrôlée par la peur de replonger. Moi je suis vieux, mon cerveau est formé. Je m'inquiète énormément pour mon fils de 20 ans qui est HP et tend clairement vers la schizophrénie, tient des raisonnements délirants et parfois paranos. Je voudrais utiliser mon expérience de cette descente pour l'aider à quitter le joint qui est vraiment en train de le détruire. Il se néglige, est susceptible, s'isole socialement, a des croyances ésotériques. Le joint c'est super cool, mais ça empoisonne très insidieusement. A consommer avec modération et grande prudence, et pas quand on est jeune."

Mickael (25 ans) - Nationalité France - 17 mai 2019 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonsoir a tous j'ai lu beaucoup de vos témoignages et tout comme beaucoup d'entre vous j'ai commencé a fumer du cannabis il y a maintenant presque 10ans comme beaucoup j'ai commencer avec une consolation uniquement festive je ne voulais même pas apprendre a rouler sachant pleinement que je tomberais pleinement dans la fumette si j'avais la possibilité de me débrouiller seul après a peine 2 ans de consolation je suis passer de une 20€ le weekend a 150€ pas semaine très vite les 150€ sont devenue 450 effectivement le calcule et vite fait un peu moin de 2000€ par mois de dépense a 21ans aujourd'hui j'ai 25ans et je me voiler la face il y a encore quelques mois sur mes réel raison de continuer et sur ma sois disant addiction en rencontrant une fille génial j'ai pris la décision de redescendre ma consommation de 450 a 150€ ce qui es toujours exorbitant mais une très bonne évolution pour ma part quelque semaine après je passais de 150€ a a 60€ par semaine ce qui représente environ une consolation de 7fois moin que quelque mois avant mais je n'avais en aucun cas l'envie d'arrêter ce plaisir qui faisait maintenant pleinement partie de ma personne mais il y a quelque semaine suite a une décision de justice on m'oblige a arrêter la consommation et cela d'un seul coup ce qui entraîne mon message dans la plus part de vos témoignages on parle de réel motivation mais comment faire quand ce n'est pas un choix mais une obligation bien que a vrai dire j'ai le choix je pourrais accepter de perde mon boulot ma copine et faire 3mois de prison pour éviter ce suivie médical qui dois être négatif mais rien que a l'écrire je me rend compte a quel point il n'y a pas de décision à prendre beaucoup trop a perdre pour trop peux gagner seul hic cela fait seulement 3jours que je ne consomme plus rien et je récent déjà tout les effet du manque du cannabis 3 jour où je ne dort presque plus je ne mange plus ou très peux environ un repas sur ces 3 dernier jours je bois beaucoup de coca pour nourrir mon cord mais il ne tiendra jamais le mois a cette alur je pleure sans cesse tremble en journée et sue toute la nuit j'ai pourtant arrêter d'autre drogue dans le passer du jour au lendemain et sans grande difficulté mais c'était ma décision comment faire j'ai esseyer de me trouver un occupation mais plus rien ne m'intéresse a par les chose en lien avec la drogue en elle même j'ai esseyer les produit alternative a base de CBD e-liquide fleur tisane mais aucun ne m'apporte la satisfaction du goût rechercher et aucun ne m'aide réellement et j'ai beau avoir tout les raison du monde d'arrêter j'ai grandement peur de ne jamais tenir durant 1semaine a un mois avec ces effet que faire es ce quelqu'un parmi vous a déjà été forcé et a réussi d'autre on t'il déjà eu ce suivie médical j'espère qu'un témoignages m'aidera a reprendre ma vie en main mais surtout a tenir le coup dans cette épreuve Je m'excuse de l'orthographe de l'ordre de mots et de la tournure de mais phrase mais ces bien la première fois que je prend le temp d'écrire depuis de longues années alor j'espère que vous serais consciliant "

Juju (24 ans) - Nationalité Française - 13 janvier 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Je m’appelle Julie j’ai 24 ans, j’ai consommé du cannabis pendant 10 ans j’ai décider d’arrêter du jour au lendemain car sa me poser des problèmes dans plusieurs domaines comme le travail, les relations, j’avais 0 motivation dans tous. Aujourd’hui je suis à 25 jours d’arrêt de joint . C’est facile à certain moment et y’a des jours c’est plus compliqué l’envie est toujours là j’espère avancer et ne plus craqué je suis déjà fier d’en être là je suis impatiente d’arriver au moment où j’en n’aurai plus dû tout envie. Il faut beaucoup de courage pour se sevrer jusqu’où bout je ne lâche pas . Le plus dur c’est lorsque je suis angoissé ou stresser je ne sais plus trop comment agir sans joint c’est là que l’envie me vient :/ j’aimerai ne plus avoir ces angoisses ni ce manque la patience est mon meilleure allié ... "


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