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m-ange (54 ans)
Nationalité française
11 juin 2021

le 14 avril 2013 je vous parlais de ma prise de la vapoteuse. je peux vous dire qu'il ne m'aura pas fallut 1 an pour l'arrêter. mais bravo car je n'ai pas repris la cigarette. décembre 2013 j'arrêtais la vapoteuse. j'avais descendu le taux de nicotine régulièrement. quels (troubles) après l'arret du tabac et de la vapoteuse ?? la perte du comment respirer. je ne savais plus remplir mes poumons d'air. je ne savais plus respirer par le nez. une kiné respiratoire m'a été d'un grand secours . mais je l'ai eu parce que j'ai la bpco. si je n'avait pas eu cette maladie et que je n'arrivais plus a respirer correctement j'aurais surement repris la cigarette. car ne pas arriver a reprendre correctement son souffle peut être très stressant. et malheureusement le stress favorise la prise de nicotine. si vous avez envi d'essayer la cigarette en prenant la vapoteuse (attention, celle qui se recharge avec des e liquide fait en france) faites le. cette vapoteuse sera toujours moins nocive que la cigarette. mais pensez a ajuster le taux de nicotine . car la diffusion dans le corps est différente et si vous prenez un taux trop faible vous ne serez pas satisfait. au début j'ai intercalé cigarette et vapoteuse. puis au bout de quelques jours je n'avais plus que la vapoteuse. changer vos habitudes. ex fumez dehors et non dans vos habitations. ne fumez plus dans la voiture. rien que ces petites choses pourraient vous aider. une autre chose et pas la moindre, votre pouvoir d'achat passerait du simple au triple. et votre santé serait préservée. alors non votre moral ne restera pas au top niveau tous les jours, mais chaque matin sera plus facile. a cause de la cigarette je ne pouvais plus faire de sport. en 2019 nous sommes partis 15 jours a vélo avec mon mari et ma fille. on a suivit le canal rhone au rhin, nous avions la toile de tente et le réchaud. c'était fantastique. nous avons fait 180km a vélo. c'etait la liberté. ne plus fumer c'est être libre. bon courage a tous et toutes
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Jawel (60 ans)
Nationalité Française
24 mars 2023

Bonjour, Me concernant, contrairement au témoignage d'Elisabeth, moi j'ai été prévenue assez tôt par un pneumologue de ma maladie respiratoire qui a débuté par une crise d'asthme aiguë et qui au final s'est avérée être un début d'Emphysème BPCO (Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive), dû principalement au tabac. et aussi, par d'autres facteurs allergiques, (taux d'humidité et à la chaleur excessive, pollen, etc...) Et malgré tout, une fois la crise passée et que j'étais totalement guérie, je reprenais aussitôt la cigarette, en ayant une consommation de 20 cigarettes/jour habituellement, et ce, depuis de nombreuses années, et par la suite j'ai été tentée de diminuer peu à peu ma consommation de tabac, je suis passée de 20 cig. à 15 cig/jour et jusqu'à mon infarctus en 2018, ainsi qu'une récidive par un autre infarctus survenu en 2020. Après quoi, j'ai dû continuer peu à peu de réduire davantage ma consommation, et cette fois-ci en passant progressivement de 15 cig. à 5 cigarettes/jour, et tout cela sans éprouver aucune difficulté. Et enfin jusqu'à mon dernier sevrage tabagique, datant depuis le début de février 2023, et bientôt 2 mois de sevrage total, depuis et jusqu'à ce jour, je ne ressens plus aucune envie de reprendre la cigarette. Et ceci, sans avoir recours aux substituts nicotiniques, mais plutôt grâce à la pratique d'une activité sportive régulière, ainsi qu'une alimentation équilibrée, et un apport important à la vitamine C. Me voilà à présent, déjà au bout des 2 mois d'arrêt du tabac, je me sens en pleine forme, et souhaite sincèrement ne pas devoir rechuter à nouveau et arriver enfin à me détacher définitivement de la clope afin de pouvoir retrouver un meilleur souffle et de me sentir ainsi beaucoup plus libre et toujours active, tout en continuant d'avancer en âge.
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Sarah (45 ans)
Nationalité Suisse
01 avril 2022

Bonjour, Comme je vois qu'il est possible de laisser un témoignage sur ce site, alors c'est très volontiers que je vais relater mon histoire (en aucune façon je suis à même de pouvoir garantir être brève !). Pour commencer, avant toute chose, je tiens à signaler que je suis un cas complètement particulier. Un cas à part. Pour ne pas dire même un cas très, voire extrêmement rare. Alors, pour bien comprendre mon expérience avec la cigarette, il est nécessaire de remonter au mois de janvier 12 (donc année 12). Et de préciser que j'avais cru bon d'inviter un ex-copain (qui a d'ailleurs manqué de devenir mon "mec", il s'en est vraiment pas fallu de grand chose !). En effet, au cours de son séjour, et sur MA demande - je ne puis donc QUE m'empresser de réfuter toute allusion où "j'ai une influence absolument désastreuse sur toi", pour reprendre ses propres propos - il m'apprit à fumer. J'avais alors 35 ans : j'étais majeure, et donc adulte. Dans mon cas, le problème quasi habituel de la minorité ne s'est donc bien sûr pas posé. Alors que l'âge moyen normal habituel se situe entre 10 et 15 ans, j'ai fait mes expériences d'adolescente - tabac et alcool - avec 20 ans de retard. Je me dois de préciser que, cette nuit où j'ai tiré mes premières bouffées de cigarette, j'étais déterminée et décidée de commencer à un point tel qu'il aurait été nécessaire non seulement de me menotter, ou de me ligoter les mains dans le dos, mais aussi de me bâillonner. D'ailleurs mon ex-ami ne s'y est pas trompé : "wow, tu y mets vraiment de la volonté", m'a-t-il alors dit... Comme je l'ai dit, sauf à me menotter les mains dans le dos, ou à me les ligoter, et à me bâillonner, rien ni personne n'aurait jamais pu faire quoi que ce soit pour m'en empêcher. J'étais bien trop déterminée à "briser un interdit". Je me dois aussi d'ajouter, pour dire la vérité d'une part, et pour que mon récit soit complet d'autre part, qu'il arriva une nuit, au cours du séjour de cet ex-copain, ou j'avais décidé de faire l'expérience en connaissant l'ivresse. Ce qui fut chose faite, puisque j'atteignis un taux d'alcoolémie approximatif de l'ordre de deux grammes, selon son estimation (ceci rendu possible parce que nous savions que nous n'aurions pas besoin de nous déplacer avec mon véhicule). Bien sûr, mes premières bouffées de cigarette m'ont fait avoir les quintes habituelles qu'ont tous les novices. Oui mais voilà - et c'est là l'information clef pour la suite de mon histoire : je me suis rendue compte à temps, car c'était moins une avant l'addiction, qu'il est beaucoup plus simple de fumer en n'ingérant pas la fumée plutôt qu'en l'ingérant. Pourtant, ces quelques cigarettes ne furent pas suivies de beaucoup d'autres car, dès le printemps 12, c'est sans aucune peine, ni manque, que je ne fumai plus une seule cigarette, et ce pendant des années. Jusqu'à ce 14 mars 20 (= année 20), ou, dans le cadre d'une récente actualité (je m'exprime ainsi car je suis sûre que vous avez compris à quoi je veux me référer, à quoi je veux faire faire allusion), le gouvernement espagnol décréta un enfermement général des 50 millions d'espagnols. Et donc une paralysie quasi générale de l'économie espagnole. Initialement, cela ne devait durer que deux semaines, du 14 au 28 mars. Oui mais voilà : après moults prolongations, ces 50 millions d'espagnols, dont je fais partie, pour y être résidente depuis 10 ans, se virent enfermés 24/24 et 7/7 pendant un trimestre complet.. C'est l'ennui engendré par cet enfermement qui m'a poussée à aller m'acheter un paquet de Pueblo (une marque espagnole de cigarettes). Aujourd'hui, cela va bientôt faire deux ans que j'ai repris le tabac. Contrairement à nombre de fumeurs, et pour me référer au "détail clef" que j'ai souligné tout à l'heure, c'est parce que je n'ingère pas la fumée, mais bien parce que je l'exhale sitôt la bouffée prise - la fumée de la cigarette ne reste donc même pas une seconde dans ma cavité buccale -, que je parviens, sans peine ni manque, à limiter strictement ma consommation annuelle de cigarettes à 20. Oui : je fume un paquet par année, ce qui me permet de ne fumer qu'une cigarette de temps à autres, juste pour le plaisir. D'ailleurs, j'ai reçu, voilà peu de temps, la réponse d'un médecin tabacologue, me disant que "vous ne compromettez en aucune façon votre santé avec la consommation de tabac que vous m'avez évoquée. Vous faites partie des 5% enviés". Désormais, je sais parfaitement que, pour continuer de pouvoir m'accorder ce petit plaisir occasionnel, je me dois de toujours non seulement maîtriser, mais contrôler ma consommation de tabac de façon stricte. C'est à moi de contrôler la cigarette, et non l'inverse. Oui, il m'arrive d'avoir des envies de fumer. Pour y faire face, il me suffit de prendre ma cigarette électronique, et de tirer quelques lattes, et mon envie passe aussi vite qu'elle est venue ! Voilà, j'espère que mon histoire vous aura plu. Amicalement Sarah
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Franck (59 ans)
Nationalité France
14 juillet 2021

Voilà mon expérience personnelle: Bien qu'asthmatique enfant et jusqu’au début de l’adolescence, j’ai fait comme les copains et suis tombé dans le panneau de la cigarette vers 17 ans. A cet âge on manque d’assurance, alors on ne va pas encore en rajouter en se distinguant des autres par le fait de ne pas fumer, on n’est pas un gamin !!! Dans les années 78-80 la cigarette était encore tendance et à la mode. L’époque ou la publicité pour le tabac était partout, dans les journaux en passant par la formule1, les magazines sportifs, le cowboy Marl… Dans les films le héro fumait forcément puisque c’était le héro ! On fumait au bureau, au resto, dans les trains, les avions, les discothèques et les salles d’attente, il y avait des cendriers partout les voitures, les compartiments de trains… Les messages de prévention commençaient tout juste à exister mais on n’avait pas trop envie de les entendre. Je vais avoir bientôt 60 ans et je fume donc depuis 43 ans, malgré quelques arrêts qui n’ont pas duré longtemps. J’ai bien failli gagner cette bataille en 2008 ou j’ai réussi a arrêté, et ce pendant 6 ans. Je pensais bien être tiré d’affaire, mais une période de ma vie accompagnée de relâchement lors de soirées arrosées où on se retrouve entouré de fumeurs et se voit tirer sur la cigarette d’un ami (erreur fatale) s’en suit la rencontre d’une grosse fumeuse et on glisse sur une pente savonneuse jusqu’à la reprise ! Depuis ce jour (2014) j’ai dans l’idée d’arrêter de nouveau puisque j’avais réussi à le faire une fois. Mais je n’ai aucune volonté, je le sais bien ! On entend partout « pour arrêter il faut de la volonté » (c’est surtout les non-fumeurs qui le disent) ignorants ce qu’est l’addiction à la nicotine. Bien que n’ayant jamais été un gros fumeur (une dizaine par jour) je n’arrivait pas à m’en passer et elles m’étaient indispensables, même dans mes activités sportives (Trial moto) qui est assez physiques. Même à bout de souffle, j’étais celui qui allume une cigarette pendant les poses, au moment de se désaltérer, en arrivant sur le terrain, en repartant en fin d’après-midi… A force de me trotter dans la tête cette idée à fini par voir le jour, et je me suis dit qu’il fallait absolument que j’arrête le tabac avant d’être à la retraite. Il me semble plus facile de faire des efforts tant qu’on est en activité, occupé quotidiennement et avec les contraintes liées à la cigarette (poses à l’extérieur obligatoire, limitées dans la journée) ce qui n’est pas le cas lorsque je suis chez moi puisque totalement libre d’allumer une clope avec le paquet sous les yeux et parfois une consommation qui augmente. Le 25 juin 2021 i y a 2 semaines et demi j’avais rendez-vous avec mon généraliste et je décidais de lui demander de me prescrire du Champix, j’en avais entendu parler et un collègue de travail avait arrêté ave ce médicament. J'ai d'abord été effrayé par tout ce que je lisais sur le Champix, la liste d'effets indésirables est si longue que même Tabac info service me l'a déconseillé en disant que la varénicline ne devait se prescrire "qu'en seconde intention" !?! C’est-à-dire réservé aux très gros fumeurs, très dépendants, ceux qui ont tout essayé…. Les cas désespérés ! Devant mon manque de motivation et le plaisir que j’avais a fumer ma cigarette si indispensable après le petit-déj, le café, l’apéro, le repas etc. (et en règle générale j’appréciais les 10 que je fumais puisque justement, je n’en fumais que 10, pas de cigarettes superflues) Je ne voulais pas passer par la méthode douce encouragée pas Tabac info service : les substituts Nicotiniques, gommes à mâcher, patchs… Il me fallait une méthode radicale même comportant « quelques » risques. Je me suis dit que c’était le prix à payer pour me débarrasser de ce fléau et j’avais vu trop de personnes autour de moi échouer avec les substituts pour recommencer après quelques temps. J’avais moi-même expérimenté cette méthode il y a quelques années sans succès. La cerise sur le gâteau à été la réaction de mon médecin. Il a presque sursauté en entendant le mot Champix ! Il me répond : « NON, je ne prescrit pas de Champix. Je l’ai fait 4 fois dans ma carrière et j’ai eu 2 fois des problèmes. Une patiente a voulu sauter par la fenêtre ! « Vous avez essayé l’hypnose » ? Evidement tout ceci n’était pas en mesure de me rassurer, mais j’insistais argumentant que je n’étais pas fragile, ni physiquement, ni psychologiquement et que les effets indésirables sont potentiels, pas systématiques. Le lendemain samedi 26 juin je passe à la pharmacie et prends ma première dose de Champix à 11h du matin (0,5 Mg le matin pendant les 3 premiers jours du traitement) avec le même enthousiasme qui si j’avalais une pilule de cyanure ! Je rappelle que ma consommation quotidienne est de 10 cigarettes, parfois je débordais 11 ou 12. L’après-midi je pars faire du sport et ne change rien a mes habitudes, le samedi soir je n’en avait fumé que 8 ! J1 : 0,5 Mg matin = 8 cigarettes J2 : 0,5 Mg matin = 6 cigarettes J3 : 0,5 Mg matin = 5 cigarettes J4 : 0,5 Mg matin/soir = 5 cigarettes J5 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J6 : 0,5 Mg matin/soir = 4 cigarettes J7 : 0,5 Mg matin/soir = 3 cigarettes J8 : 1 Mg matin/soir = 1 cigarette J9 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette J10 : 1 Mg matin/soir = 0 cigarette…. Depuis dimanche 4 juillet je n’ai plus fumé de cigarette, nous sommes le 14 ça fait dix jours. Les dernières avaient un gout moins agréable qu’habituellement. Je ne sais pas encore si c’est gagné, l’envie de fumer me traverse quelques fois l’esprit dans la journée mais ça ne dure pas et je tien bon. J’ai envie de dire, c’est là que la volonté entre en jeu : Quand on a fait une partie du chemin, au prix de quelques efforts (largement aidés par le médicament) il ne faut pas renoncer et faire demi-tour. En dehors des rêves complètement dingues qui ne sont pas des cauchemars (presque amusants, j’ai revu des personnes totalement disparues de ma vie et de mes pensées) des nuits entrecoupées et une certaine fatigue sans doute liée a mon activité cérébrale nocturne et aux moments de réveil successifs qui rendent les nuits moins réparatrices, quelques fois une légère nausée (pas méchant, ça passe) et occasionnellement une sensation de vertige (comme quand on a fumé un joint, pour ceux qui connaissent) pas plus d’effets indésirables. Je ne peux en rien préjuger des réactions de chacun, mais pour ma part le rapport bénéfice risque est sans appel, totalement positif ! J’ai lu que le traitement pouvait durer jusqu’à 12 semaines. Mon médecin m’a prescrit deux boite de 14 jours donc 28 J. Je suis au 18 jours et je pense avoir fait une partie du boulot. Je crois que 4 semaines de traitement devraient me suffire, si j’ai tenu 3 semaines sans fumer je suis sur la bonne pente. Pour moi qui ait déjà arrêté, c’est la règle des 3 qui s’applique : 3 premiers jours, une bataille de reportée, 3 premières semaines, une seconde, et si on a tenu 3 mois c’est presque gagné ! J’envisage de diminuer la dose par 2 la dernière semaine du traitement (semaine prochaine) 1 Mg seulement le matin (au lieu de 1 matin / 1 soir) et ainsi prolonger d’une semaine le traitement en réduisant le taux de varénicline progressivement. Je verrais si le besoin de nicotine refait son apparition, mais j’ai bon espoir. Je ne sais pas si ce témoignage sera utile a quelqu’un, mais quand je pense a toutes ces journées sans tabac et me dit que je suis entrain d’entrer dans le monde des non-fumeurs, ceux qui ont plus de souffle, qui ne sont plus esclaves de cette M… et tous ces euros que j’économise (pour info le médicament est totalement remboursé avec la mutuelle) je n’ai plus qu’une seule chose à dire : MERCI CHAMPIX .
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Anonyme (58 ans)
Nationalité France
04 octobre 2020

Le tabac c'est un gros business de l'état. Votre dealer s'il était sincère obligerait les fabricants à réduire chaque année le taux de nicotine et ainsi sevrer TOUT le monde...Mais les taxes sont plus importantes que votre vie, la vérité de la bien pensante c'est rien d'autre que ça...! et puis se développe à vos dépends un autre business celui de l'arrêt du tabac, on vous vend toutes sortes de choses, du patch à l'hypnose au pack arrêt etc etc, et puis...on vous ment en vous disant qu'arrêter de fumer n'est pas si difficile...le but étant que vous soyez le moins armé possible, le moins prêt possible pour favoriser votre échec...imaginez un sportif a qui l'on ferait croire que c'est gagner d'avance et qui ne se préparerait donc pas mentalement en fonction de la réalité. Arrêter de fumer est difficile, long, vous souffrirez longtemps, moins durant certaines périodes, mais...rien n'est gagné ça reviendra... voilà vous savez vous allez pouvoir vous préparer à la hauteur du défi... un moins sans tabac... une goutte d'eau dans la mer, d'autant que le premier mois est le plus facile...Laisser tomber tous vos remèdes miracles...qui encore enrichissent les autres...allez vous encore longtemps vous laisser plumer par l'état et tout son réseaux... Prenez une calculatrice et chaque jour faite tourner le compteur sous vos yeux plusieurs fois par jour à chaque journée sans tabac comptez le nombre d'heure que cela fait, puis en jour, puis en mois puis en années faites ce calcul autant de fois par jour que votre esprit est torturé, faites aussi sur un calendrier une croix chaque jour celui de l'argent que vous économisez ainsi x fois 10 euros par jour...au départ fait le traitement des patchs mais là encore ne soyez pas aussi optimistes que votre pharmacien, ne vendez pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué... ne faite pas 21 mg 3 mois mais 5 moins...puis 14 mg 4 moins puis 4 mois aussi en 7 mg...Faites aussi le ménage autour de vous, famille amis, et toutes les occasions qui amènent à fumer / fêtes/ sorties etc il faut décider faire un choix et si tenir sinon ne faites rien et continuez de vous consumer jusqu'au bout. La semaine dernière un type de 40 ans marié avec deux petites filles, et avec qui je travaillais m'a dit j'aurais du faire comme toi...il croyait que ça n'arrivait qu'aux autres......... le cancer de la gorge, on lui a fait un trou pour qu'il puisse encore un peu respirer, mais il ne peut plus parler et...pour combien de temps encore, et sa femme? et ses enfants dans tout ça ? bien sur il ne travaille plus et il ne voit plus personne...les amis, qui en signe de détente vous tendent une...bonne clope. J'ai comme vous tentez des dizaines de fois j'ai TOUT essayé, alors pourquoi j'ai réussi la dernière fois c'est quoi la différence ! et bien je vous l'ai dit la différence c'est que cette fois j'étais prêt mentalement je savais que ce serait dur très dur et long...qu'il y avait un cap..à passer pour être en fin LIBRE. / cela fait 782 jours, je continue de tenir mes comptes chaque jour mais aujourd'hui je le fais juste pour le plaisir, 18768 heures et 7820 euros mis de côté en plus...Mais il y a tout le reste aussi le confort de vie, la santé...et quand l'état annonce une énième augmentation du tabac à présent ça me fait RIRE, car l'état...Le premier mois c'est de la rigolade ça on le sait avec les autres mois...ne vous faites pas avoir les 8e 9e 10e ça va mieux, bonne période...ne relachez pas votre vigilence vous n'ête pas sortie d'affaire, je me souviens encore du 15e 16e et 19e mois... mais depuis 6 mois je ne souffre plus du tout, plus RIEN et je me dis que si c'était à refaire je le referais bien plus tôt ! quand je pense que certains ose vouloir la légalisation du cannabis...et son cortège funeste. Ne lâchez rien.
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Anonyme (56 ans)

24 janvier 2020

38 ans de fumée! Et, depuis 16 mois, pas de cigarette. Aucune. J'ai délaissé mon balcon, synonyme de pause-clopes. Dommage, mais j'y retournerai bientôt, sans le souvenir de la cigarette entre les doigts et du petit moment soi-disant relaxant et récréatif rien que pour soi, à aspirer son petit cocktail explosif de substances toxiques. Les gens qui fument autour de moi ne me gênent plus. Plus aucune envie. En 16 mois, j'ai dû rêver deux fois seulement que je tirais sur une cigarette. Certes , je suis encore dépendante : je vapote, avec un faible taux de nicotine. Sans, j'aurais sûrement replongé, je l'avoue. On se bat avec les moyens qu'on peut assumer. Et quels que soient les moyens, si cela signifie zéro cigarette, c'est déjà une belle victoire. Les quelques kilos pris, je les ai combattus avec des séances de fitness et d'alimentation en conscience. Energie, bon sommeil, réveils matinaux en forme, respiration dégagée, plus de toux ni de glaires dégueu, teint lumineux, plus d'odeurs de cendrier froid ni de lessives sans fin de ces habits et foulards qui puent, plus de stress lié à la peur du manque - aller à temps au kiosque acheter sa dose, dépenser des fortunes- la liberté et la santé, enfin. Voilà mon petit bilan après ces 16 mois, et si cela pouvait être inspirant pour vous cela me comblerait de joie. Vous aussi, arriverez à dire adieu à cette drogue déguisée en charmantes tentatrices dans leur petit étui papier glacé aux séduisantes écritures embossées, colorées et brillantes - car oui, l'esthétique marketing des paquets de clopes est très attractive et a un impact certain sur nos actes d'achat, et ajoutons-y le petit briquet si mignon qui y trouvera sa place... je pense particulièrement à nos jeunes à cet égard, sans doute plus sensibles aux injonctions mercantiles des cigarettiers, un aspect qui n'est pas vraiment considéré quand le sujet de la dépendance à la cigarette est abordé. Ne plus fumer est à votre portée. La preuve, je l'ai fait!
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Jérôme (44 ans)
Nationalité Française
26 mars 2019

Bonjour, J'ai fumé de 18 à 43 ans. 1 paquet par jour. J'ai essayé plusieurs fois d'arrêter : Patchs, gum, rien n'a fonctionné. Lors de l'arrivée des e- cigarettes j'ai essayé bien sûr. Malheureusement après un début encourageant j'ai été confronté à des problèmes de fuites de e-liquide et d'autonomie. Très génant, j'ai repris la cigarette. Peu de temps après un ami m'a donné quelques informations très importantes : Il faut trouver sa e-cigarette. Celle qui conviendra à l'utilisation qu'on en fait. J'ai fait quelques recherche et j'ai investit 1 mois de "cigarette" dans l'achat de materiel pour e-cigarette. Un modèle plus serieux. Cela fait 18 mois que je vapote maintenant. J'ai commencé à 12 mg de nicotine et aujourd'hui je suis à 6 mg. Je n'arrive pas à descendre en dessous. Il m'arrive encore de me laisser tenter par une cigarette, souvent lors d'une soirée avec alcool, mais le goût n'est vraiment pas plaisant et au final c'est plutôt rare. Les dernières études montrent que la e-gigarette est 95% moins nocive que la cigarette. Alors même si je n'ai pas complètement gagné, j'ai en tout cas nettement amélioré mon hygiène et ma santé général. Sans compter que ma femme n'est plus obligé de supporter mon haleine, que je ne suis plus obligé de fumer dehors (dur l'hivers !) et que je n'ai plus besoin de me demander de ce que je vais faire de mon mégot quand je suis en ballade. Je pense bientôt réessayer de baisser le taux de nicotine dans mon e-liquide. A terme je souhaites toujours arrêter. La e-cigarette, lancez-vous ! Je ne dis pas que c'est la solution miracle mais enfin, que risquez vous ? 1 mois de budget cigarette redirigé vers la e-cigarette ce n'est pas bien méchant. Tentez le coup, beaucoup à gagner et pas grand chose à perdre !
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yoann (41 ans)
Nationalité France
06 novembre 2018

Bonjour, j'ai 41 ans j'ai passé 27 ans à fumer la cigarette, dont 11 ans de dépendance au cannabis incluant aussi 7 ans de dépendance à l'héroine. Le STOP ,(date) concernant la cigarette le 24/08/17 sans y retoucher une seule fois à ce jour. j'ai substitué par la cigarette électronique à cette date diminuant tous les 3 mois le taux de nicotine jusqu'à 0. j'ai repris la même date (STOP) d'arrêt le 24/08/18 donc à ce jour plus rien . Je constate un sommeil léger,des cauchemars ,des crises d'angoisse brèves mais puissantes,amplifiées par tous schémas émotionnelles que nous traversons.(relations professionnelles,privées etc..) Je ne m'avancerai pas à dire que c'est gagné mais m'appuyant sur mes expériences passées: 16 ans bientôt 17 ans sans cannabis, (31/05/2002) 17 ans bientôt 18 ans sans héroïne ( 27/03/2001). Je ne peux que constater que c'est possible, les faits parlent d'eux mêmes. A toutes les personnes qui désirent arrêter ,quelque soi votre dépendance, je dis OUI c'est possible! C'est libérateur,une vie nouvelle s'offre à vous,soyez curieux car il y a mille merveilles derrière l'indépendance.
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Philippe (58 ans)
Nationalité français
20 août 2018

Bonjour Il y a 3 ans, j'éteignais ma dernière cigarette après 40 ans de tabagisme et aussi après avoir tout testé (ou presque). Je me suis muni d'une cigarette électronique et j'ai utilisé régulièrement cette dernière pendant 1 an. Puis j'ai cessé de vapoter de la nicotine et maintenant (depuis plusieurs mois), j'ai cessé le vapotage. Quel bonheur d'être enfin libéré de cet esclavage. Au niveau souffle, je suis déçu car je m'attendais à récupérer un peu plus (mais les 10 kg pris lors du sevrage tabagique n'aident pas non plus). Les tentations existent encore et on ne se libère pas d'une telle addiction facilement. Néanmoins, j'ai envie de vous dire que si j'y suis arrivé c'est que tout le monde peut le faire Deux grands principes: - Vapotez avec de la nicotine et descendez progressivement le taux de cette dernière sans bruler les étapes (quitte à faire marche arrière). - Conservez votre vapoteuse dans un coin, en état, car on peut toujours être tenté et dans ce cas, un petit coup de vapote sans nicotine, ça aide. rendez vous dans 2 ans pour le témoignage des 5 ans !
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Christine
Nationalité France
02 février 2011

Depuis le 11 septembre 2009, je suis à la cigarette électronique et n'ai pas retouché de cigarette normale depuis. Je suis très satisfaite et fière de moi. J'étais grosse fumeuse, 1 paquet, un paquet et demi par jour. J'ai essuyé des échecs à chaque arrêt et tiens le coup avec la cigarette électronique. J'ai essayé plusieurs cigarettes avec des taux différents de nicotine et de saveurs. Avantages : Des résultats sur le souffle, la sinusite et autres se sont rapidement faits ressentir. Je n'ai pas grossi puisque je ne compense pas un manque, j'ai la gestuelle, ma sensation d'inhaler, une contenance. Je ne suis plus obligée de sortir dehors en soirée, je n'empeste plus le tabac et ai toujours une agréable haleine mentholée ou autre. Inconvénients : Pas de recule sur la composition et les effets sur l'organisme. Les saveurs sont excellents et du coup, je l'ai toujours à la bouche. Je n'ai pas envie d'arrêter, la cigarette électronique me suffit, je suis tout simplement passée à autre chose en me rassurant que ça ne pouvait pas être pire que le tabac, mais je souhaiterai en être certaine.
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