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"sommeil" (15)

Florent (25 ans)
Nationalité France
13 juin 2019

3EME ARRET CONCLUANT. QUELQUES ASTUCES QUI M'ONT SERVI: Petite présentation: J'ai commencé mes 1ères cigarettes vers 14ans, pour acheter mes 1ers paquets à 15 ans. A 17 ans, je pouvais fumer jusqu'à 10 cigarettes. A 20 ans, jusqu'à un paquet (parfois plus, suivant les pauses café/sorties/soirées). 1er arrêt (1 mois): A 24ans, je me lance dans mon 1er arrêt, avec comme motivation la santé au long terme. Je coupe net, j'utilise la cigarette électronique une dizaine de jours, j'évite certaines sorties (car groupe composé -que- de fumeurs). Constipation, sommeil altéré (réveils, cauchemar) et irritabilité, mais je suis motivé, si je ressens ça c'est que le corps se purifie. Puis voilà, au bout d'un mois, il a suffit d'une cigarette en fin de soirée, pour reprendre le lendemain. Et beaucoup plus fort. Comme pour rattraper les cigarettes non- fumées.. 1ère expérience. 2nd arrêt (3 mois): 8 mois plus tard. Je n'ai pas "arrêté" de fumer, mais j'ai arrêté d'acheter des clopes. Au cours des 3 mois, 0 argent dépensé, la cigarette électronique m'accompagne parfois, j'ai fumé au total environ 50 cigarettes en grattant dans le paquet des amis. Malgré l'effort, je n'ai pas "complètement" arrêté, et j'ai bel et bien repris. 3ème arrêt (mars 2019): Riche de deux expériences d'arrêt du tabac, j'ai collecté quelques techniques qui m'ont facilité la tâche. Je peux dire que depuis mars 2019, je n'ai pas fumé UNE seule cigarette, et ce, sans soutien de nicotine (e- cig, ou patch,..) et je souhaite vous les partager. N°1 > Fumer des cigarettes sans ADDITIFS Quelques lectures sur internet vous renseigneront sur ce point. Les cigarettes des grandes marques sont blindés d'additifs, y compris d'ammoniac pour que notre corps attrape mieux la nicotine -non cancérigène, mais responsable de la dépendance-, et aussi des produits qui "anesthésient" nos bronches pour avoir moins mal à la gorge, et donc plus fumer. Commencer à fumer des cigarettes sans ADDITIFS (type tabac à rouler BIO, ou indus NATURELLES) sera déjà un 1er sevrage. Elles paraissent plus fortes en gorge, et vous envoient moins de nicotine, mais vous êtes dans le vrai. Et croyez moi, cette étape facilitera (ou provoquera) l'arrêt du tabac. N°2 > Ne pas dire "j'arrête" Ici, c'est plus sur l'aspect anxiété que cela va jouer. Selon moi, dire à tous que l'on arrête de fumer est une source supplémentaire d'anxiété. Arrêter de fumer est déjà stressant. Si en plus, on a des projecteurs sur nous ("Alors t'as fumé? t'as craqué? t'as pas craqué?), c'est juste infernale. Et si il arrive que l'on craque, on peut se sentir "merdique" et abimer notre estime de nous. Simplement dire "non je n'ai pas ARRETÉ, je n'ai juste pas envie de fumer maintenant" ou dire "oui peut être plus tard" aux cigarettes proposées, a été une façon de me libérer de cette -quasi- pression sociale pour poursuivre mon arrêt en toute TRANQUILITÉ ! N°3 > Choisir son moment (OUI et NON) Dans l'idéal, on arrête à l'instant t. On ne reporte pas son arrêt à tel ou tel jour, ou à la fin du paquet. Bref sinon ça n'en finit jamais. Toutefois, c'est vrai que l'arrêt entraine certaines complications (pensées parasites, nuits difficiles). C'est surmontable. Mais si l'on est en plein rush (partiels, finalisation d'un dossier, approche d'un gros événement,..) et que notre quotidien implique un GROS effort de concentration dans les prochains 15 jours, ok pour reporter. N°4 > Post arrêt Chaque jour, je lisais et relisais les effets secondaires du tabac, ça me motivais à tenir le cap. J'ai aussi mis en place une fois par semaine un jeun de 24h. J'ai acheté une montre de sport qui analyse le rythme cardiaque, fréquence au repos, et qualité du sommeil. Aussi, j'ai fait plus de sport les premiers jours. Et j'ai cuisiné de bons plats et desserts. Tout ça pour penser à autre chose, détourner l'esprit de l'arrêt de la cigarette, et me récompenser à chaque jour. Et bizarrement, j'ai plutôt bien vécu cet arrêt. Je me suis même réconcilier avec d'anciennes passions/loisirs. Après 15 jours, le gros des symptômes est passé. Ensuite il faut accepter que le corps reprenne ses marques (toux, sommeil, etc). La gorge qui "gratte" pendant 1 mois, des difficultés de concentration au début, des rêves/cauchemars intenses pendant au moins 1 mois, parfois des boutons qui apparaissent (encore aujourd'hui). Sinon, un meilleur teint, beaucoup moins de stress accumulé chaque jour, plus de confiance, et un odorat qui reprend vie. Autre point, il faut "remplir" les moments qui étaient réservés à la cigarette. C'est ce qui est pour moi le plus déroutant. Que faire pendant les 5 minutes après le repas ? Que faire de mes mains pendant que je bois une bière fraîche en terrasse ? Le corps est complètement déboussolé par la perte de cette habitude. C'est un défi. Puis avec le temps, on finit par (re)vivre sans la clope. On est pas plus/pas moins intelligent. Mais au moins, on minimise à fond le risque qu'on nous disent, "désolé, vous avez une maladie lié au tabac". Et ça, c'est encore plus cool que de fumer !
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Lola (32 ans)
Nationalité Francaise
08 juin 2022

J’ai arrêté de fumer il y a deux mois. Je pensais que j’allais souffrir, que fumer faisait partie de mon identité, que cela m’apportait un vrai plus dans la vie. Bien au contraire, je me sens LIBRE ! Libérée de ces tours de voiture un dimanche soir à 19h à la recherche d’un tabac ouvert car en rade de cigarettes, du stress de ne voir que 2-3 cigarettes au fond de son paquet, des odeurs de tabac froid, de l’essoufflement constant, de la fatigue, du mauvais sommeil, de ces crises de nerfs inexpliquées… je suis bien plus positive, je profite bien plus de mon temps que je consacre à autre chose. Bref je suis bien plus heureuse !
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vincent 57 ans (57 ans)
Nationalité France
10 juin 2021

28 avril 2019 "Bonjour, Voici le récit d'une des expériences les plus étranges qu'il m'a été donné d'exprimer au cours de ma vie. J'ai choisi de la partager. Il n'y a pas de Blabla, cela a été efficace pour moi, pas de patch, de vaporette ou autre moyen de substitution. Cela m'a permis jusqu'à aujourd'hui d'arrêter net du jour au lendemain. Méthode simple basée sur le conscient, inconscient, subconscient et l'auto hypnose. Phase un: Prendre son temps pour ce persuader de l'aspect nocif du tabac. Penser et rechercher tous les aspects négatifs rattachés au tabac. Vous vous préparer à franchir le pas. Réessayer jusqu'à votre réussite. Phase deux: Prenez une cigarette (étonnant non!), allumez la. Très important. Tirez une bouffée tout en regardant attentivement la cigarette se consumer, recommencez jusqu'à ce que l'image soit bien ancré sans votre esprit. Phase trois: Prenez une paille pour soda. Portez la à votre bouche, respirez par cette paille (important, ne respirez pas par le nez). Ceci est votre respiration actuelle. Pliez légèrement la paille, cela est votre respiration dans 10 ans. Plus vous allez plier la paille plus cela vous montrera votre respiration de fumeur dans le temps. Ne trichez pas avec vous même, ne vous voilez pas la face. La phase trois m'a fait prendre conscience. L'arrêt a été immédiat au milieu de fumeurs (aucune gêne). Le phénomène de manque/ Je me sers de la phase deux, quand j'ai envie de fumer je revois cette cigarette en train de ce consumer tout en faisant semblant de fumer avec ma bouche, vous pouvez même vous accompagner de votre paille si vous le souhaitez. J'en suis au 34 ème jour et je n'éprouve plus ce besoin de fumer, je commence à me réguler sur la nourriture et à enfin revenir à une vie normale. En espérant de tout cur que cela fonctionne avec vous. " 10 juin 2021, Bonjour, c'est un succès, je n'ai pas fumé depuis Mars Avril 2019. Je me suis aperçu que le phénomène de manque dure plus ou moins de 20 secondes à 2 minutes et que la "technique" de s'imaginer que l'on fume pour stopper l'envie fonctionne. Je me suis posé des questions au moment du sevrage pourquoi ai je commencé et en plus ça pue, ça ne sert à rien, en manque on s'irrite facilement pour un rien, c'est un budget, cela peut me tuer. Les points positifs: Sur la cigarette il n'y en a pas. Sur la vie de tous les jours, que du bonheur. Les odeurs en se promenant, le goût, le sommeil retrouvé, meilleur mine, plus de souffle. A bientôt.
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Satch (28 ans)
Nationalité Française
28 avril 2021

J’avais 26 ans et pourtant quelque chose clochait. Maux de têtes incessants depuis toujours, fatigue chronique, embonpoint... Je ne sortais jamais sans quelques comprimés de paracétamol ou d’ibuprofène car, au cours de la journée, les crises de migraines pouvaient être très violentes. J’ai consulté de nombreux neurologues, ORL, généralistes et même magnétiseurs pour essayer de soigner ces migraines qui me tuaient à petit feu. Aucun de ces spécialistes n’a su déterminer la cause de mon mal et je m’étais résolu, avec peine, à vivre avec pour le reste de ma vie. Résolu jusqu’à un jour de janvier, le 1er. jour de l’année 2020. Je ne vous fais pas de dessin : fête du réveillon particulièrement arrosée, deux paquets de cigarettes fumés, un état lamentable au matin, j’avais abusé et j’en payais le prix fort. Pourtant, ce 1er janvier 2020 est devenu le premier jour du reste de ma vie. Celui où j’ai décidé d’arrêter de fumer. Fier de ma nouvelle résolution, je me suis souvenu qu’une amie m’avait prêté il y a quelques mois l’ouvrage d’Allen Carr promettant le Saint Graal aux fumeurs que nous sommes : la liberté de s’affranchir des volutes nauséabondes de la cigarette. Je ne cacherai à aucun d’entre vous que j’ai commencé l’ouvrage à reculons. Je l’ai trouvé mal écrit et répétitif. Cependant, j’ai continué ma lecture me persuadant que je n’avais rien à perdre, encore quelques pages, j’aurais essayé… Mais au fur et à mesure de la lecture, un déclic s’amorça en moi. Et si ma future vie sans tabac, sans cette cigarette que je croyais indispensable, n’allait m’apporter finalement que du bonheur ? Et si moi aussi j’avais le droit à une énergie retrouvée, un porte-monnaie renfloué, un visage moins marqué, des dents moins teintées, une fatigue dissipée, un sommeil retrouvé ? Ça valait le coup d’essayer, non ? Alors je me suis accroché à cette carotte qu’on agitait devant mon nez. Et ce qui devait arriver, arriva très vite. La fatigue s’est d’abord estompée rapidement, comme un voile qu’on levait. L’ancien-fumeur que j’étais ne pouvait s’y résoudre : c’était simplement une coïncidence, ça ne pouvait pas être aussi simple. Puis le gout de la nourriture, et particulièrement des fruits est réapparu. Suivi d’une énergie à faire bouger des montagnes. Et tout ça dans les deux premières semaines. Et c’est grâce à toutes ces choses superbes qui arrivent à votre corps que les difficultés des premières soirées, des premiers verres en terrasse et des premières pauses entre collègue sans cigarettes sont finalement rapidement oubliées. Vous allez mieux et c’est tellement fort, que c’est tout ce qui compte. Au bout d’un mois, je constate que mes migraines disparaissent et je commence enfin à réaliser. Depuis tout petit mes parents ont toujours fumé à mes côtés (je ne les en blâme pas, la lutte contre le tabagisme des années 90 n’était pas celle qu’elle est aujourd’hui en 2021), puis à 16 ans, m’étant moi-même mis à fumer, je n’avais donc jamais expérimenté la vie sans cigarette… et sans migraines. Au moment où j’ai banni la cigarette de ma vie, j’ai laissé une chance à mon cerveau de s’oxygéner et le résultat ne s’est pas fait attendre, les maux de tête ont tout simplement disparu. (Avis à tous les migraineux, qui ne s’en sortent pas…). Le reste de l’année où j’ai arrêté, il y a eu plein de belles autres surprises dues à cet arrêt qui ont jalonné mon chemin : dents qui retrouvent leur blancheur, teint qui s’embellit, l’humeur qui s’éclaircit, le portefeuille qui se rempli… et le tout sans prendre un gramme (j’ai même perdu 10kgs en plein confinement cette année-là, quitte à se faire du bien et retrouver la santé : autant mieux s’alimenter !). Aujourd’hui ça fait 1 an et 5 mois que j’ai arrêté de fumer. J’ai la conviction que je ne refumerai jamais car je sais tout ce j’ai gagné et que, maintenant, le plus beau est devant moi. Il était important pour moi de vous livrer mon témoignage car ce site m’a énormément aidé via les témoignages de ces hommes et ces femmes qui ont mené ce combat avant moi. Aujourd’hui, c’est mon tour. Je finirai par dire à tous ceux qui souhaitent arrêter, que vous avez pris la bonne décision : le bonheur et la liberté n’attendent que vous. Alors offrez-vous cette nouvelle vie, vous le méritez tellement.
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Anonyme (43 ans)
Nationalité France
23 décembre 2020

Bonjour, Juste un petit témoignage pour motiver à l’arrêt de la cigarette tabac. J'ai été fumeur dès l'âge de 14 ans, rapidement un paquet par jour, avec l'adolescence les expériences qui vont avec, quelques substance prohibés qui se fument, rapidement stoppés. J'ai fumé jusqu’à l'age de 35 ans des cigarettes classiques, un jour mon fil qui avait quatre ans à ce moment là n'a pas voulu que je l'embrasse parce que je sentais mauvais, de cet instant je suis passé à la cigarette électronique sans plus jamais touché une cigarette tabac, avec un dosage revue sans cesse à la baisse, commencer à 16mg pour finir à 3mg. Toutefois la cigarette électronique pour laquelle on a pas de recul ne semble pas si anodine que ça, aussi il semble important d'essayer de s'en détacher dès que possible. Aujourd'hui et depuis quelques jours, j'ai totalement stoppé avec l'aide d'un patch et quelques bonbons à 1.5mg. Cela fait suite à une série de pb de santé qui m'ont contraint de pousser la porte du pneumologue, quelques tests plus loin, ma SPO2 en sommeil n'est pas bonne (trop basse 92%), suspicion de BPCO stade 1 et probablement début d'emphysème, autant vous dire qu'aujourd'hui je m'en veux de ne pas avoir stoppé bien avant, par chance ce n'est pas des problèmes respiratoires qui m'ont alerté et m'ont envoyé chez le pneumologue mais un contrôle les autres pistes médicales n'ayant rien trouvés(je ne ressent pas de gêne et pas de symptômes), je n'ose imaginer si j'avais attendu les symptômes pour faire un check pulmonaire. Vous avez le pouvoir d'arrêter alors n'attendez pas l'alerte qui sera toujours trop tardive.
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Anonyme (56 ans)

24 janvier 2020

38 ans de fumée! Et, depuis 16 mois, pas de cigarette. Aucune. J'ai délaissé mon balcon, synonyme de pause-clopes. Dommage, mais j'y retournerai bientôt, sans le souvenir de la cigarette entre les doigts et du petit moment soi-disant relaxant et récréatif rien que pour soi, à aspirer son petit cocktail explosif de substances toxiques. Les gens qui fument autour de moi ne me gênent plus. Plus aucune envie. En 16 mois, j'ai dû rêver deux fois seulement que je tirais sur une cigarette. Certes , je suis encore dépendante : je vapote, avec un faible taux de nicotine. Sans, j'aurais sûrement replongé, je l'avoue. On se bat avec les moyens qu'on peut assumer. Et quels que soient les moyens, si cela signifie zéro cigarette, c'est déjà une belle victoire. Les quelques kilos pris, je les ai combattus avec des séances de fitness et d'alimentation en conscience. Energie, bon sommeil, réveils matinaux en forme, respiration dégagée, plus de toux ni de glaires dégueu, teint lumineux, plus d'odeurs de cendrier froid ni de lessives sans fin de ces habits et foulards qui puent, plus de stress lié à la peur du manque - aller à temps au kiosque acheter sa dose, dépenser des fortunes- la liberté et la santé, enfin. Voilà mon petit bilan après ces 16 mois, et si cela pouvait être inspirant pour vous cela me comblerait de joie. Vous aussi, arriverez à dire adieu à cette drogue déguisée en charmantes tentatrices dans leur petit étui papier glacé aux séduisantes écritures embossées, colorées et brillantes - car oui, l'esthétique marketing des paquets de clopes est très attractive et a un impact certain sur nos actes d'achat, et ajoutons-y le petit briquet si mignon qui y trouvera sa place... je pense particulièrement à nos jeunes à cet égard, sans doute plus sensibles aux injonctions mercantiles des cigarettiers, un aspect qui n'est pas vraiment considéré quand le sujet de la dépendance à la cigarette est abordé. Ne plus fumer est à votre portée. La preuve, je l'ai fait!
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yoyo (27 ans)
Nationalité france
12 avril 2019

J'ai aujourd'hui 27 ans, 10 ans de tabac, entre 1 et 3 paquets, mon triste "record" étant de 74 cigarettes en une journée Je pouvais m'envoyer entre 1 et 4 cigarettes d'affilée, Gitanes blanches, roulées sans filtre etc.. bref je me suis bien fait "plaisir" au début... Puis au bout de 5 ans hernie hiatale, gastrites à répétition, recherche de mégots dans le parking, problèmes de sommeil et d'haleine, souffle très court, sentiment de culpabilité grandissant... alertes du médecin... J'ai donc arrêté en 6 mois : d'abord j'ai réduit pdnt 2 mois : 7 cigarettes par jour (sueurs froides, troubles dépressifs..) Puis je me suis patché.... et c'est terminé !!! Et je REVIS.... Pourquoi continuer à faire quelque chose quand le BESOIN remplace le PLAISIR. PENSEZ Y ;)
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yoann (41 ans)
Nationalité France
06 novembre 2018

Bonjour, j'ai 41 ans j'ai passé 27 ans à fumer la cigarette, dont 11 ans de dépendance au cannabis incluant aussi 7 ans de dépendance à l'héroine. Le STOP ,(date) concernant la cigarette le 24/08/17 sans y retoucher une seule fois à ce jour. j'ai substitué par la cigarette électronique à cette date diminuant tous les 3 mois le taux de nicotine jusqu'à 0. j'ai repris la même date (STOP) d'arrêt le 24/08/18 donc à ce jour plus rien . Je constate un sommeil léger,des cauchemars ,des crises d'angoisse brèves mais puissantes,amplifiées par tous schémas émotionnelles que nous traversons.(relations professionnelles,privées etc..) Je ne m'avancerai pas à dire que c'est gagné mais m'appuyant sur mes expériences passées: 16 ans bientôt 17 ans sans cannabis, (31/05/2002) 17 ans bientôt 18 ans sans héroïne ( 27/03/2001). Je ne peux que constater que c'est possible, les faits parlent d'eux mêmes. A toutes les personnes qui désirent arrêter ,quelque soi votre dépendance, je dis OUI c'est possible! C'est libérateur,une vie nouvelle s'offre à vous,soyez curieux car il y a mille merveilles derrière l'indépendance.
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Nathalie (48 ans)
Nationalité Francaise
17 février 2016

J'ai 48 ans et j'ai commencé de fumer à 13 ans. C'était les parents, la famille qui me proposaient lors des fêtes en me disant "une petite clope" c'est rien, sauf que cela est devenu pour moi ma "béquille". A 20 ans je fumais un paquet et demi par jour. J'ai arrêté de fumer il y a maintenant 8 ans. J'avais déjà essayé plusieurs fois d'arrêter, plusieurs méthodes aussi et après plusieurs rechutes je ne fume plus. Cela a été un long travail sur moi-même. En fait j'ai mis deux bonnes années pour arrêter de fumer complètement avec arrêt et rechutes. Alors j'ai recherché des témoignages et une amie m'a parlé de ce site et j'ai lu et relu plusieurs témoignage et cela m'a permis de mûrir et tester ma motivation et de me sentir comprise. Au début cela a été l'horreur, j'étais triste, c'est bête à dire mais je savais qu'il fallait faire mon deuil du tabac et rien que le fait de savoir que cela était irréversible de me dire tu ne pourras plus jamais fumer me terrorisait Ce site m'a aidé car pendant l'arrêt j'ai eu beaucoup de période de doutes avec des envies très fortes de fumer à nouveau. Quand le moral était au plus bas je lisais les témoignages du site et cela me redonnais espoir de savoir que d'autres étaient passés par là. J'ai même fumé en lisant les témoignages et puis un matin j'ai vraiment décidé d'arrêter. J'ai également lu un livre "la méthode simple pour arrêter de fumer" d'Allen Carr. Aujourd'hui dans une soirée, il y a toujours une personne pour me proposer une cigarette, j'hésite toujours un petit moment et je revois le travail, la force qu'il m'a fallu pour y arriver et je repense à mes moments de grande solitude et tristesse à l'arrêt et cela me suffit pour dire non. Côté santé, au début j'étais souvent enrhumée, triste, irritable. Maintenant je peux mesurer les bénéfices de mon arrêt : - j'ai retrouvé mon souffle, plus jolie peau, sommeil amélioré, alimentation plus saine, diminution de ma consommation d'alcool, diminution de maux de tête, meilleure haleine. Financièrement je m'y retrouve et surtout je suis libre, je n'ai plus à me dire as tu pensé a acheté des clopes pour le weekend ? etc... L'année dernière lors du réveillon de l'an j'ai fumé une cigarette, j'ai eu peur je me suis dit ça y est je vais replonger et puis non j'ai pensé à nouveau à ce long parcours du combattant et je me suis dit non je ne veux plus le revivre. Je pense qu'il faut l'avoir décider et surtout prendre cette décision pour soi. Petite astuce qui marchait pour moi, à chaque fois que j'avais envie de fumer je comptais jusqu'à dix car je savais que l'envie durer que quelques secondes et ensuite je sentais l'envie qui s'estompais. Je vous souhaite de réussir dans votre décision d'arrêter et surtout de ne pas culpabiliser, si vous reprenez une cigarette et de vous rappeler avec fierté toutes celles que vous n'avez pas fumés juste avant et que vous recommencerez à arrêter jusqu'à ce que votre pensée se dirige vers autre chose et qu'arrive enfin la délivrance et la liberté. Nathalie
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Dylan (22 ans)
Nationalité Suisse
21 octobre 2015

Bonjour, j'ai arrêté de fumer depuis 1 mois et je dois dire que je ne pensais pas pouvoir récupérer autant vite. J'ai l'impression de revivre!! Je voulais faire part de mon expérience pour pouvoir aider d'autre personnes. Points positifs: Les matins je me levais et fumais une cigarette au réveil et ensuite je déjeunais. C'est quand même grave de se dire que je dois d'abord fumer plutôt que de manger. Maintenant je me lève tranquille et non stressé. Le fait de ne plus être fatigué constamment les soirs après 20 cigarettes dans le corps. Le fait de ne plus tousser les matins des glaires, ne plus puer à longueur de journée. Je porte des lentilles et javais souvent les yeux secs à cause de ces cigarettes et maintenant c'est fini. Je suis bien mieux en général et j'ai retrouvé la pèche la journée. Je me marre bien quand je vois tous ces "suiveurs" se geler les pieds dehors le matin à la pause. J'ai retrouvé l'odorat. Je n'ai plus besoin de stresser pour acheter des cigarettes, ou retrouver le briquet pour pouvoir en fumer une et me sentir justement moins stressé. C'est cette cigarette qui vous fais stresser exprès pour que vous voulez fumer. C'est quand même grave d'être un esclave de cette daube en tube. J'ai un cardio et oui j'ai 22 ans et je cours de temps en temps, et depuis une mois j'ai triplé mon endurance et ce juste en arrêtant. Le teint du visage est aussi hallucinant, en 1 mois ma peau a retrouvé toute sa couleur et sa fraîcheur et à 22 ans se voir dans le miroir et se dire qu'on fait plus que son age c'est quand même le combe. Ne soyez pas un "suiveurs" et gardez votre argent pour vous et pour vous faire de jolies vacances.. Bon maintenant les points négatifs: Je précise qu'à l'instant je peux dire que ces symptômes ont totalement disparu. Ils ont duré 2 semaines et la 3ème semaines ils ont diminués. J'étais irritable et chiant au possible sans compter que je me sentais mal et à moitié dans les vapes. J'avais la tête qui tourne pendant les premiers jours. On a arrêté ensemble avec la copine et elle est aussi super contente du résultat malgré toutes les disputes dues à cet arrêt. J'ai pris un kg et je m'en fou complètement, c'est pas grave du tout et ça ne se voit pas mon plus. Comment j'ai fais pour arrêter, il n'y a pas de remède miracle néanmoins quelques conseils: Faire un pacte avec sa copine et ses proches du genre si je m'énerve ce n'est pas grave et c'est normal. Partir sur le principe qu'on le fait pour sois-même et que si je m'engueule avec qqun à cause du manque, on s'en fou, la personne comprendra et si elle ne comprend pas tant pis pour elle! Faire des bonnes nuits de sommeil, ça m'a aider! Ne pas boire d'alcool, j'adore sortir et je me suis dit que si je sortais et que je voulais fumais je rentrais directement à la maison et tant pis si je loupe 2-3 soirées. La première soirée j'ai tenu 1 heures et ça m'a gâché toute la soirée et je m'en fou. Ce n'est pas grave!! Un conseil de ma copine qui me le dit souvent: prendre la vie cool et profiter, mais profiter sans se démonter la santé c'est possible en arrêtant cette m.. Se sortir les pouces du cul une bonne fois pour toute et se donner les moyens d'arrêter facilement. Pour les gars qui sont stressé comme moi à cause de l'arrêt, faites 20 pompes à chaque fois que vous voulez fumer et vous verrez après 200 pompes pendant la journée, ça va vite diminuer. On dit souvent que les drogues c'est mal mais il faut ouvrir les yeux et se dire que la drogue la plus puissante reste les cigarettes mais la seule différence c'est que ça a été légaliser et du coup ils se font tellement de tune avec cette m.. que ça restera légal et les gens continueront à penser que ça n'est rien et pas grave mais c'est faux! La vérité c'est que ça tue alors posez vous la question: Vous voulez vivre ou vous voulez mourir à cause d'une m.. pareil!! Bref voilà mon expérience. J'espère que ça va aider des gens qui se demandent s'ils veulent arrêter ou non! N'hésitez pas une seule seconde et foncez!! ++
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