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SOPHIE (57 ans)
Nationalité FRANCAISE
09 janvier 2015

Bonjour, je me suis arrêtée le 5 janvier. Stop-tabac.ch m'a beaucoup aidée. La cigarette électronique aussi, car elle me permet de conserver ma "tétine". Je commence d'ailleurs à baisser le dosage de mes recharges car j'avais le sentiment d'être en surdosage... Depuis 2 mois environ, je cherchais une solution efficace pour me faire soutenir. J'ai contacté votre homologue français, leur demandant s'ils connaissaient des associations proposant des soutiens type "fumeurs anonymes". RIEN! La grande chance, c'est que cette fois, mon mari et mon fils aîné ont également décidé d'arrêter. En effet, mes précédentes tentatives avaient échoué car j'étais trop tentée par les cigarettes qu'ils laissaient traîner. Grâce à cette synergie, pour la 1 ère fois, je n'ai pas ressenti de manque, ni, surtout, de phénoménales crises d'angoisse. Jusqu'à présent en effet, je me sentais incroyablement frustrée lors de mes tentatives d'arrêt. Le manque était surtout psychologique! Une souffrance folle, comme si mon "enfant intérieur" protestait contre la disparition de sa tétine. J'ai rempli à ce sujet un questionnaire que vous m'avez adressé car je trouve en effet très utile ce travail de recherche d'une meilleure compréhension des mécanismes du tabagisme. Je retrouve mon souffle, des capacités de travail décuplées, une meilleure mine et une sorte d'envie de vivre, de faire plein de choses, c'est incroyable ce que je me sens boostée. Je me suis arrêtée avec mon mari il y a 1 an et demi pendant 1 mois, mais j'ai compensé avec du vin et des gâteaux, ce qui m'avait prendre quelques kilos (heureusement perdus aujourd'hui). Il ne faut absolument pas compenser! Je me suis arrêtée également de façon significative, avec mon mari, de 2000 à 2005. C'était une nécessité. Je lançais un journal, j'avais un travail de folie et je n'aurais jamais pu tenir. Je me suis également arrêtée de 17 à 18 ans et de 29 à 30 ans. Tous ces arrêts m'ont aidé à voir qu'on pouvait très bien vivre sans tabac, mais je me souviens aussi qu'il me manquait des stimulants. C'est ce qui me fait le plus peur encore. Heureusement, la cigarette électronique occupe le terrain de façon assez efficace. L'impression de conserver une "attitude". A suivre, donc. Sophie
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yoann (41 ans)
Nationalité France
06 novembre 2018

Bonjour, j'ai 41 ans j'ai passé 27 ans à fumer la cigarette, dont 11 ans de dépendance au cannabis incluant aussi 7 ans de dépendance à l'héroine. Le STOP ,(date) concernant la cigarette le 24/08/17 sans y retoucher une seule fois à ce jour. j'ai substitué par la cigarette électronique à cette date diminuant tous les 3 mois le taux de nicotine jusqu'à 0. j'ai repris la même date (STOP) d'arrêt le 24/08/18 donc à ce jour plus rien . Je constate un sommeil léger,des cauchemars ,des crises d'angoisse brèves mais puissantes,amplifiées par tous schémas émotionnelles que nous traversons.(relations professionnelles,privées etc..) Je ne m'avancerai pas à dire que c'est gagné mais m'appuyant sur mes expériences passées: 16 ans bientôt 17 ans sans cannabis, (31/05/2002) 17 ans bientôt 18 ans sans héroïne ( 27/03/2001). Je ne peux que constater que c'est possible, les faits parlent d'eux mêmes. A toutes les personnes qui désirent arrêter ,quelque soi votre dépendance, je dis OUI c'est possible! C'est libérateur,une vie nouvelle s'offre à vous,soyez curieux car il y a mille merveilles derrière l'indépendance.
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Philippe (58 ans)
Nationalité français
20 août 2018

Bonjour Il y a 3 ans, j'éteignais ma dernière cigarette après 40 ans de tabagisme et aussi après avoir tout testé (ou presque). Je me suis muni d'une cigarette électronique et j'ai utilisé régulièrement cette dernière pendant 1 an. Puis j'ai cessé de vapoter de la nicotine et maintenant (depuis plusieurs mois), j'ai cessé le vapotage. Quel bonheur d'être enfin libéré de cet esclavage. Au niveau souffle, je suis déçu car je m'attendais à récupérer un peu plus (mais les 10 kg pris lors du sevrage tabagique n'aident pas non plus). Les tentations existent encore et on ne se libère pas d'une telle addiction facilement. Néanmoins, j'ai envie de vous dire que si j'y suis arrivé c'est que tout le monde peut le faire Deux grands principes: - Vapotez avec de la nicotine et descendez progressivement le taux de cette dernière sans bruler les étapes (quitte à faire marche arrière). - Conservez votre vapoteuse dans un coin, en état, car on peut toujours être tenté et dans ce cas, un petit coup de vapote sans nicotine, ça aide. rendez vous dans 2 ans pour le témoignage des 5 ans !
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sandrine (47 ans)
Nationalité francaise
14 juillet 2018

Ma bequille, mon antistress, ma meilleure ennemie..., je l'ai pourtant quitté il y a 6 mois ce soir exactement à l'heure où j'écris...pour moi, pour mes amours, pour la vie. Plusieurs tentatives d'arrêt ont émaillé'mon parours de fumeuse fidèle, depuis l'âge de 15 ans...durant 30 ans. Mal au dos...et si c'était un cancer...mal au ventre et si...mal à la gorge... STOP! Zyban, cigarette électronique., hypnose..et patch pour finir, il suffit de trouver la bonne solution pour en finir... 6 mois après je prends encore de grandes inspirations pour faire passer une envie fugace et ainsi j'apprécie un peu plus le souffle retrouvé. Je ne me sens pas guérie, je suis vigilante et tellement heureuse de vivre sans... Mes amis disent souvent que si j'y suis arrivé, tout est possible, alors allez y!!!
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Quentin (23 ans)
Nationalité Suisse
05 juin 2017

Cela fait une semaine que je ne fume plus. Et je sais, au fond de moi, que jamais je n'y retoucherai. J'ai auparavant plusieurs fois tenté de me sevrer, sans succès: horrible état dépressif, douleurs multiples, un état proche de la folie. J'ai les dents jaunes, le souffle rauque, l'haleine puante, je récupère les mégots de cendriers qui jonchent le parterre de la rue tard dans la nuit quand je suis à court. Je me sentais enfermé à vie, pris au piège. Mais cette fois-ci, c'est différent. Je parviens à me défaire de mon addiction sans douleur et sans manque aucun, avec joie même! Mon secret? La cigarette électronique. Ce produit, conçu par les fumeurs pour les fumeurs, est une véritable petite révolution. Informez-vous, regardez Vape Wave de Jan Kounen, lisez la presse scientifique, parcourez le web. Puis, comme-moi, faites le pas, entrez dans un magasin spécialisé réputé et laissez-vous conseiller. Avec la vape, il n'y a aucun sentiment d'abandon, de sacrifice. La raison est simple. Vapoter est tout simplement meilleur que fumer! En terme de goût et de sensation, la vape offre un panel d'une variété inouïe, supérieure en tout points à la monotonie des cigarettes. Paradoxalement, c'est en arrêtant de fumer que j'ai enfin trouvé le plaisir que la cigarette était censée m'apporter. Alors, vous êtes prêts à troquer vos clopes archaïques tueuses et au goût de cendre pour la cigarette du futur?
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laurence (59 ans)
Nationalité francaise
15 janvier 2017

Bonjour à tous, Je vais avoir 59 ans dans quelques jours et j'ai arrêté de fumer le 14 novembre 2016. Je me souviens avoir commencé à fumer lorsque j'étais en classe de seconde. Au début, je n'étais pas une grande fumeuse, je n'avais pas les moyens et je me contentais des cigarettes infâmes fournies gracieusement par mon frère qui était militaire. A partir de ce moment, je suis devenue fumeuse "sporadique", le genre de fumeuse chanceuse qui peut fumer à l'envie, c'est à dire que je pouvais rester sans fumer, pendant des jours voir des semaines et puis je pouvais fumer un paquet entier en compagnie d'un fumeur ou selon certaines situations comme un concert, un week end entre amis, une sortie. j'étais devenue fumeuse accompagnatrice, celle qui ne fume qu'avec les autres. et là, je pouvais fumer à l'excès pendant deux jours et puis plus rien pendant des semaines. En gros, j'avais deux facettes, la non fumeuse qui ne pensait jamais à la cigarette ou la grosse fumeuse qui vidait un paquet dans la journée ou la soirée ! du coup, cette particularité m'a beaucoup servie lorsque j'ai attendu mes enfants car je n'ai eu aucun mal à stopper la cigarette durant ma grossesse et même plusieurs mois après l'accouchement et naturellement en aucun cas en présence de mes enfants. Ce comportement de fumeuse à deux faces a duré des années, pratiquement jusqu'à 45 ans. et puis, j'ai été hospitalisée en maison de repos pour une grosse fatigue et état dépressif. et c'est là que j'ai commencé à fumer selon l'expression que je n'ai jamais comprise, "comme un pompier". hospitalisée 10 jours, je fumais toute la journée, on nous ravitaillait en cigarettes le jeudi et on arrivait rarement jusqu'au jeudi suivant, la jonction était très dure. c'est donc tout simplement à l'hôpital que je suis devenue fumeuse accroc. a partir de là, je me suis mise à acheter mes cigarettes par deux paquets. Il me fallait en gros 2 jours et demi pour les fumer. Étant une très petite dormeuse, levée régulièrement entre 2h30 et 4h du matin au plus tard, je fumais surtout la nuit, une cigarette derrière l'autre. parfois je me faisais avoir et là je paniquais, je fouillais partout pour trouver une clope oubliée dans un coin. et ces jours là, à 6h30 le matin, j'attendais l'ouverture du tabac. et le cumul incohérent ne me faisait pas peur, on dit que les sportifs ne fument pas, et pourtant pendant 10 ans, j'ai pratiqué le sport à grosse dose, entre 8h et 10 h par semaine, et après chaque cours, je sortais fumer une cigarette. je tiens à ajouter que je n'ai jamais ressenti d'essoufflement particulier ou d'obstruction à une activité physique, j'étais infatigable et pouvais enchainer plusieurs cours de cardio à la suite. j'ai finalement arrêté le sport à cause d'une fibromyalgie. cependant je suis restée grande fumeuse et il ne se passait pas une semaine sans qu'on me dise d'arrêter de fumer car cela allait me rendre malade, me faire mourir. mes amis et ma mère naturellement, enfin tout le monde me conseillait d'arrêter car pour eux je fumais beaucoup trop. et là, j'affirme que je n'ai jamais décidé d'arrêter de fumer, c'était un plaisir immense dans ma vie, j'aimais ça et je ne ressentais aucun besoin de réduire ma consommation. la maladie, les photos, ça ne me faisaient rien, aucune réaction négative, aucun remord, je me sentais bien en fumant et les conséquences ne m'importaient aucunement. et puis voilà, au mois de novembre dernier, j'ai eu quelques soucis familiaux, j'ai replongé dans la dépression et le médecin m'a ordonné un arrêt de travail de 15 jours. Pendant cette période, je suis tombée en panne de cigarettes, c'était un vendredi vers 17 h. n'étant pas particulièrement en forme, j'ai décidé de m'en passer et d'attendre le lendemain pour aller en acheter et je m'en suis très bien passé, à tel point que le lendemain matin, j'ai repoussé le ravitaillement (par deux paquets comme je disais) à l'après midi et puis le soir est venu et je me sentais fatiguée pour sortir, j'ai décidé de repousser au lendemain matin, sachant que le dimanche, tout est fermé l'après midi pourtant, je n'ai pas ressenti un besoin extrême, j'ai encore repoussé au lendemain et au final et à mon grand étonnement, je n'ai jamais repris. ce qui est bizarre en fait, c'est que je n'étais pas dans l'optique de l'arrêt, même pas dans l'optique de la réduction, fumer était un plaisir auquel je tenais et du jour au lendemain, sans même m'en apercevoir, je suis devenue non fumeuse. L'envie s'est arrêtée comme par magie. On m'avait dit que pour arrêter de fumer, il fallait en avoir envie, un peu comme pour maigrir. mais moi, je n'en avais pas du tout envie, ça s'est imposé à moi et ce qui est extra, c'est que voir les autres fumer ne m'incite pas à reprendre. j'ai tenté une cigarette à Noël mais je n'ai pas pu la finir, et j'ai perdu totalement les gestes et la routine qui vont avec la cigarette. Jamais au téléphone sans une clope, la cigarette dès que je me lève, la cigarette à la sortie du train sur le trajet pour aller au boulot. Plus rien. Alors tout ça, c'est le rêve de tous fumeurs, j'imagine mais le rêve ne serait pas cauchemardesque si je ne grossissais pas à vue d'oeil. je ne me suis pas pesée cela m'épouvante, mais je pense avoir pris entre 3 et 5 kg depuis le 14 novembre. Je tiens à préciser que je ne suis pas une grosse mangeuse et que je n'ai pas changé mon alimentation depuis que je ne fume plus. et comme je ne suis pas une grosse mangeuse, je suis un peu paniquée car il m'est assez difficile de réduire mon alimentation pour perdre du poids. Je me donne quelques temps mais si je continues à grossir je pense que je vais finir par reprendre volontairement et ça m'ennuie beaucoup. J'ajoute que j'ai acheté une cigarette électronique et que je ne m'en sers pas. c'est même assez curieux car je ne déteste pas, j'ai juste pas envie. Si on m'avait dit que j'arrêterai de fumer du jour au lendemain sans aucun souci, mise à part la perte de poids, je n'y aurais jamais cru car ce n'était pas du tout dans mes projets. j'ai toujours dit que j'aimais fumer et que je prenais tous les risques qui vont avec. Mon gros souci en ce moment, c'est la prise de poids, je suis une ancienne anorexique et je vais avoir du mal à assumer une prise de poids, c'est certain.
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Juliet (62 ans)
Nationalité Française
11 novembre 2016

Étant atteinte de BPCO,emphysème pulmonaire,maladie coronarienne et artérielle depuis des années,j'etais incapable d'arrêter la cigarette. Et je ne voulais pas arrêter. J'ai fait récemment une grosse extinction de voix,soignée aux corticoïdes en inhalation. Cela m'a décidé à m'arrêter. Pour ce faire,je suis passée à la vape,après avoir diminué drastiquement ma consommation de cigarettes,ce qui est beaucoup plus facile en en fumant que la moitié. Il y a une semaine,le 4 Novembre,j'ai commencé à vaper en arrêtant complètement la cigarette. Je me suis acheté un vapoteur avec un boîtier électronique réglable,et un e-liquide à 12 de nicotine. Je n'ai plus du tout envie de fumer,le vapotage me calmé très vite dès que j'ai une envie de fumer. Aucun effet secondaire n'est à déplorer. Je me sens déjà beaucoup mieux. J'avais essayé autrefois avec des timbres et des chewing-gums à la nicotine,mais cela me donnait des malaises désagréables,des nausées fréquentes et des crises d'angoisse et de dépression. Avec la vape,j'ai eu un malaise d'angoisse qui est passé très vite. Vu mon état de santé,il est hors de question que je refume du tabac,et je suis certaine que je vais tenir grâce à la vape. Je diminuerai le dosage de nicotine de l'e-liquide très progressivement dans l'espoir de pouvoir arrêter aussi de vapoter,mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Surtout ne pas aller trop vite ! J'encourage vraiment les gros fumeurs à passer à la vape : bien dosé,ce produit donne autant - voire plus - de plaisir que les cigarettes. J'ai obtenu un goût proche de la cigarette,la vapeur est abondante,avec un bon réglage et un bon e-produit à votre goût,c'est le succès assuré. En cas d'envie de cigarette,avec la vape,ça passe tout de suite. Bon courage à ceux qui désirent arrêter,il y a moyen de réussir à tout âge,en se faisant plaisir grâce au vapotage. Merci.
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Raphaëlle (37 ans)
Nationalité Française
25 octobre 2016

Bonjour, J'ai arrêté de fumer depuis le 14/07/15. J'espère que cet arrêt sera le définitif. En tout cas, la fumée des autres fumeurs me dérange maintenant, et je ne pense pratiquement jamais à fumer. Je voulais témoigner sur plusieurs choses : - On ne prend pas forcément du poids lors d'un arrêt : j'ai perdu du poids en pratiquant la course à pied pour penser à autre chose (3 fois par semaine). - On a pas forcément besoin de substituts nicotiniques pour arrêter. J'ai lu le livre d'Allan Carr (deux fois) et c'est tout. J'avais essayé l'hypnose, l'homéopathie, les patchs, les gommes et la cigarette électronique mais sans résultats. Peut être la maturation de l'idée d'arrêter de fumer a joué, mais en tout cas, il ne faut pas avoir peur de se lancer dans l'arrêt. Si ce n'est pas la bonne, ce sera pour la prochaine fois. Bonne journée à vous Raphaëlle.
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Catherine (50 ans)
Nationalité Française
19 mai 2016

Bonjour, Je vous remercie pour tous vos conseils qui m'ont aidée à arrêter de fumer. J'ai abandonné celle qui fut ma "meilleure amie" il y a 9 mois, un vendredi soir. Le 1er mois, j'ai pris une cigarette électronique comme palier puis plus rien. Très étrangement, je ne ressens aucun manque, je crois que j'étais prête, tout simplement. Tous vos articles m'ont beaucoup aidée. Un petit truc en plus : je reculais de plus en plus les plus importantes de la journée. Par exemple, après les repas, j'attendais 5 minutes, puis 10, puis 15 etc... J'ai l'impression de démarrer une nouvelle vie, sans tabac cette fois. Merci encore et bonne chance à ceux et celles qui sont en train d'arrêter.
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Jean-Jacques (72 ans)
Nationalité Française
01 mai 2016

Pour ma part, j'ai fumé pendant 58 ans et essayé d'arrêter pendant 40 ! C'est seulement avec l'e-cigarette que j'ai trouvé le moyen de diminuer ma consommation quotidienne pour passer de 44 à 4 cigarettes par jour. C'est une façon de le dire car, en fait, il y en avait plus de 44 par jour. Rien n'est gagné car cela dure depuis 7 mois et ma dépendance, mon désir, ne sont pas taris, au contraire. Ce qui m'aide à tenir, c'est le fait d'avoir fixé des heures pour chacune des 4 cigarettes qui restent. Le 39.89 m'a aidé aussi. Il ne faut pas hésiter à faire appel à eux. En fait, je veux surtout dire ma colère. Colère de constater que les pouvoirs publiques n'ont aucune véritable prise sur l'action des cigarettiers. Comment se fait-il qu'ils n'obtiennent pas la liste des additifs et ne les interdisent pas ? Comment comprendre cette politique stupide de prix et d'étiquetage qui ne résolvent rien ? Comment admettre que les fonds ainsi récoltés ne servent pas à une véritable recherche pour aider ceux qui veulent arrêter ? Comment ne pas se poser la question de l'honnêteté et de la bonne foi des gens sensés détenir le pouvoir et/ou la connaissance et qui émettent des réserves de "principe" sur l'utilisation de la cigarette électronique ? Tout cela semble une vaste escroquerie et une mascarade orchestrée par ceux qui y ont intérêt. J'irai jusqu'à écrire qu'il s'agit d'un déni de bon sens, de logique. Ne faut-il pas avoir peur de l'avenir quand on constate ce dont l'argent est capable ? Pour ma part, ce que je sais, c'est que trois jours après avoir adopté la e-cigarette, j'ai cessé de tousser et que ma consommation de cigarettes a pu se réduire. Bien entendu, cette solution doit encore faire ses preuves quant à son innocuité et son efficacité et il existe d'autres méthodes mais il serait stupide de ne pas y recourir si on en a envie. La e- cigarette est peut-être nocive, l'avenir et une meilleur connaissance, avec le recul, nous le diront mais ce qui est sur, c'est que la cigarette, elle, tue. A choisir... Je souhaite fraternellement beaucoup de courage aux futurs abstinents. JJG
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