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Anonyme (38 ans)
Nationalité Belge
07 décembre 2022

Bonsoir (ou bonjour), Je fume depuis mes 12 ans. Mes parents étaient de très gros fumeurs (3 paquets par jour) à une époque où le tabagisme passif n’était qu’un discours de bobo de la santé. Ils fumaient partout dans la maison et la voiture, les fenêtres fermées. Autant dire que j’ai grandi avec la cigarette comme 3e parent… Vers 20 ans, j’en étais déjà à un paquet par jour. À 28 ans, à deux paquets. À 38, je fumais 35 à 45 cigarettes par jour. Même pendant ma grossesse (36 ans), je n’ai jamais réussi à arrêter totalement (2-3 cigarettes par jour à certains moments, rien à d’autres). Dès mon accouchement, comme je n’allaitais pas, j’ai repris comme avant. Depuis le 21/11, j’ai commencé sans trop me dire pourquoi, la cigarette électronique. En quelques jours, j’ai réduit ma consommation à une douzaine de cigarettes par jour. Puis en moins d’une semaine, je fumais moins de dix cigarettes par jour. Aujourd’hui, début décembre, je ne fume plus qu’une vingtaine de cigarettes par semaine. J’ai encore du chemin à faire. Je ne suis plus qu’à 6mg de ecig et encore quelques cigarettes par semaine. Tout le monde me dit que j’ai une super mine mais pensent que c’est à cause d’un changement de fonction car très peu de gens savent que j’essaie d’arrêter. Comme je l’ai lu dans d’autres témoignages, je ne l’ai pas annoncé pour éviter des questions du style « ça va, tu tiens ?? ». Cette guerre est entre moi et la cigarette, c’est déjà assez compliqué. Alors non je n’ai pas encore totalement arrêté. Mais je vais y arriver cette fois (je ne détaille et ne compte plus mes tentatives) car je fais cette démarche par conviction et non par obligation. Doucement mais sûrement. Aujourd’hui j’ai eu de violents maux de tête et j’ai fumé 3 cigarettes. Les maux de tête sont passés. Mon chemin est probablement encore long mais l’objectif est clair. Et la victoire sera mienne, sans m’imposer un arrêt complet dès le 1e jour ni même une date limite car cela m’a toujours fait échouer. Mais au final, je serais une non fumeuse. C’est une promesse envers moi-même et un message d’encouragement à celles et ceux qui essaient d’arrêter : allez-y à votre rythme et selon ce que votre corps accepte. Si vous mettez six ou douze ou vingt-quatre mois à vous arrêter c’est pas grave. L’objectif est important, pas le chemin. Courage et n’oubliez jamais votre but.
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Georges (67 ans)
Nationalité Allemagne
09 août 2021

Je fus un fumeur invétéré, et au moment de ma prise de décision d'en finir avec le tabagisme je consommais deux paquets de cigarettes par jour...Et de ces cigarettes de tabac brun qui empestent, sans filtre, celles-là qui étaient distribuées dans l'armée dans les années"60". Conscient des désagréments que générait mon comportement auprès de mon entourage, du mauvais exemple que je donnais à mes enfants, des effets néfastes sur ma santé (et nous n'évoquions pas à l'époque la notion de tabagisme "passif"!) et surtout la stupidité de mon geste, j'ai pris la décision de mettre fin " à la cigarette"; Il a fallu franchir la pas. En complément de mon analyse j'ai estimé que je n'appréciais en fait que quatre à cinq cigarettes par jour sur la quarantaine consommées, et que dans la mesure où j'arriverais à résister à celles-ci le combat serait gagné. Par ailleurs j'acceptais de moins en moins l'ineptie de ce geste dans lequel par amour propre je refusais de me reconnaître en lui... Fort de ces arguments, et étant conscient que le principe du "tout ou rien" était le seule valable, profitant d'une période de congé, j'ai mis fin, du jour au lendemain, à ma pratique. Clés de la réussite après la prise de décision: * savoir résister aux quatre ou cinq cigarettes qui nous semblent impératives ( le matin, après les repas..). Il faut savoir alors endurer l'envie durant une à deux minutes par cigarette, et se divertir pendant ce moment là. Au bout de quatre à cinq semaines l'intensité du besoin s'estompe pour disparaître complètement au bout de deux à trois mois. * avoir une volonté sans faille, ne plus accepter de porter une cigarette aux lèvres * faire de l'exercise physique * refuser de penser que nous sommes des victimes de la société et que le tabac (pour ne parler que de lui) nous permet de combattre le spleen. Après mon expérience, j'ai la conviction que seule la volonté et le bon sens permettent de mettre un terme à l'habitude de fumer. Je ne peux que laisser aux lecteurs de mon témoignage, le soin d'imaginer quels peuvent être mes sentiments envers les "patchs" et autres méthodes d'hypnose proposés par ci par là, et qui couvert d'apporter une solution aux inconditionnels du tabac recèlent une action commerciale très lucrative. Cependant, si l'une d'elles peut permettre d'aboutir, pourquoi pas! mais je reste convaincu que seuls la volonté et le bon sens constituent la clef de la réussite. Et que dire des belles sensations que le tabac nous a occulté durant toute la période où nous en sommes les victimes et que nous découvrons à nouveau dés qu'il a fini de sévir!
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Satch (28 ans)
Nationalité Française
28 avril 2021

J’avais 26 ans et pourtant quelque chose clochait. Maux de têtes incessants depuis toujours, fatigue chronique, embonpoint... Je ne sortais jamais sans quelques comprimés de paracétamol ou d’ibuprofène car, au cours de la journée, les crises de migraines pouvaient être très violentes. J’ai consulté de nombreux neurologues, ORL, généralistes et même magnétiseurs pour essayer de soigner ces migraines qui me tuaient à petit feu. Aucun de ces spécialistes n’a su déterminer la cause de mon mal et je m’étais résolu, avec peine, à vivre avec pour le reste de ma vie. Résolu jusqu’à un jour de janvier, le 1er. jour de l’année 2020. Je ne vous fais pas de dessin : fête du réveillon particulièrement arrosée, deux paquets de cigarettes fumés, un état lamentable au matin, j’avais abusé et j’en payais le prix fort. Pourtant, ce 1er janvier 2020 est devenu le premier jour du reste de ma vie. Celui où j’ai décidé d’arrêter de fumer. Fier de ma nouvelle résolution, je me suis souvenu qu’une amie m’avait prêté il y a quelques mois l’ouvrage d’Allen Carr promettant le Saint Graal aux fumeurs que nous sommes : la liberté de s’affranchir des volutes nauséabondes de la cigarette. Je ne cacherai à aucun d’entre vous que j’ai commencé l’ouvrage à reculons. Je l’ai trouvé mal écrit et répétitif. Cependant, j’ai continué ma lecture me persuadant que je n’avais rien à perdre, encore quelques pages, j’aurais essayé… Mais au fur et à mesure de la lecture, un déclic s’amorça en moi. Et si ma future vie sans tabac, sans cette cigarette que je croyais indispensable, n’allait m’apporter finalement que du bonheur ? Et si moi aussi j’avais le droit à une énergie retrouvée, un porte-monnaie renfloué, un visage moins marqué, des dents moins teintées, une fatigue dissipée, un sommeil retrouvé ? Ça valait le coup d’essayer, non ? Alors je me suis accroché à cette carotte qu’on agitait devant mon nez. Et ce qui devait arriver, arriva très vite. La fatigue s’est d’abord estompée rapidement, comme un voile qu’on levait. L’ancien-fumeur que j’étais ne pouvait s’y résoudre : c’était simplement une coïncidence, ça ne pouvait pas être aussi simple. Puis le gout de la nourriture, et particulièrement des fruits est réapparu. Suivi d’une énergie à faire bouger des montagnes. Et tout ça dans les deux premières semaines. Et c’est grâce à toutes ces choses superbes qui arrivent à votre corps que les difficultés des premières soirées, des premiers verres en terrasse et des premières pauses entre collègue sans cigarettes sont finalement rapidement oubliées. Vous allez mieux et c’est tellement fort, que c’est tout ce qui compte. Au bout d’un mois, je constate que mes migraines disparaissent et je commence enfin à réaliser. Depuis tout petit mes parents ont toujours fumé à mes côtés (je ne les en blâme pas, la lutte contre le tabagisme des années 90 n’était pas celle qu’elle est aujourd’hui en 2021), puis à 16 ans, m’étant moi-même mis à fumer, je n’avais donc jamais expérimenté la vie sans cigarette… et sans migraines. Au moment où j’ai banni la cigarette de ma vie, j’ai laissé une chance à mon cerveau de s’oxygéner et le résultat ne s’est pas fait attendre, les maux de tête ont tout simplement disparu. (Avis à tous les migraineux, qui ne s’en sortent pas…). Le reste de l’année où j’ai arrêté, il y a eu plein de belles autres surprises dues à cet arrêt qui ont jalonné mon chemin : dents qui retrouvent leur blancheur, teint qui s’embellit, l’humeur qui s’éclaircit, le portefeuille qui se rempli… et le tout sans prendre un gramme (j’ai même perdu 10kgs en plein confinement cette année-là, quitte à se faire du bien et retrouver la santé : autant mieux s’alimenter !). Aujourd’hui ça fait 1 an et 5 mois que j’ai arrêté de fumer. J’ai la conviction que je ne refumerai jamais car je sais tout ce j’ai gagné et que, maintenant, le plus beau est devant moi. Il était important pour moi de vous livrer mon témoignage car ce site m’a énormément aidé via les témoignages de ces hommes et ces femmes qui ont mené ce combat avant moi. Aujourd’hui, c’est mon tour. Je finirai par dire à tous ceux qui souhaitent arrêter, que vous avez pris la bonne décision : le bonheur et la liberté n’attendent que vous. Alors offrez-vous cette nouvelle vie, vous le méritez tellement.
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Anonyme (56 ans)
Nationalité Française
15 janvier 2021

Je viens de passer le cap des cent jours sans une cigarette et je suis fier de moi tout en étant encore surpris voire incrédule d’y être arrivé! Je sais que la route est encore longue (il m’arrive régulièrement de rêver que je fume par exemple) mais ma détermination reste totale. Alors comment ce miracle s’est-il accompli après 40 années de tabagisme et en moyenne 40 cigarettes par jour? Tout d’abord prise de conscience d’un état de santé en dégradation exponentielle avec en particulier une toux grasse incessante. Consultations médicales pour une hypertension faible mais bien présente et nouvelle, réalisation que l’effort physique devient de plus en plus pénible et autres signes désagréables: je me persuade que l’origine de ces désagréments vient du tabagisme. Je me forge une stratégie pour essayer ce que je crois être le plus adapté dans mon cas (et attesté par une ancienne collègue comme étant efficace): le CHAMPIX Comme prescrit, prise des premières pilules 2 semaines avant la date choisie. À cette date je pars de bon matin en voyage chez un vieil ami non fumeur avec qui je passe les trois premières semaines de sevrage avec un régime alimentaire sain, une activité physique quotidienne (marche) et nombre d’activités touristiques et sociales. De retour à mon environnement habituel j’ai réussi à maintenir le rythme et à graduellement abandonner sans presque m’en apercevoir la prise quotidienne des 2 pilules avant le terme de la prescription normale. Le médicament n’a pas provoqué d’effets secondaires indésirables dans mon cas. Bref, pour l’instant ça marche et je croise les doigts pour ne jamais succomber de nouveau à la tentation nicotinique... Ce qui est primordial c’est la démarche intellectuelle, tout se joue dans la tête. Conviction, auto persuasion, se défier soi-même...l’encouragement et l’appui de l’entourage qu’on peut solliciter en dévoilant ouvertement le défi d’arrêter sont évidemment un bonus. Bon courage et bonne chance à tou.te.s! PS: merci à stop-tabac.ch 😉
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Anonyme (34 ans)
Nationalité française
07 décembre 2020

Bonjour, à mon tour de laisser mon témoignage car cela fait maintenant 3 mois que j'ai arrêté de fumer. J'ai eu envie de laisser mon expérience pour les personnes qui ne se sentent pas capables d'arrêter, qui pensent que la cigarette est plus forte qu'elles-mêmes; En effet, j'ai arrêté de fumer sans réelle envie, sans volonté, sans conviction, bref, sans être prête du tout. Je fumais depuis l'âge de 14 ans, au début j'avais mes petits paquets de 10 qui me faisaient 2/3 jours, et je suis très vite passé à un paquet de 20 cigarettes par jour. environ 1 paquet par jour, pendant presque 20 ans, sans jamais ne serait-ce qu'avoir l'envie d'essayer d'arrêter. Je me suis construite avec la cigarette, elle faisait partie de ma personnalité. Me retrouvant sans travail il y a quelques mois, et mon conjoint fumeur (mais beaucoup moins que moi) souhaitant arrêter, je me suis dit que c'était pour moi le moment ou jamais de faire une tentative puisque je n'avais plus le stress du travail, ni la tentation (collègues fumeurs). Alors un peu comme ça, je me suis dit: "fini ton paquet, et puis tu arrêtes, au moins ce laps de temps sans travail sera utile pour ta vie". Je n'avais pas du tout confiance en moi, je pensais bien sûr ne pas être capable de tenir plus de 2h. J'ai donc filé à la pharmacie acheter des patchs, des bonbons à la nicotine; sur internet acheter le livre d'Allen Carr, et au bureau de tabac acheter une petite cigarette électronique à cartouche! Malgré tout cet attirail, le soir même je pleurais toutes les larmes de mon corps en rêvant de redevenir une fumeuse qui s'assume (pfff, quelle bêtise, c'est comme si on disais "oui oui je sais que je vais mourir et je vous emm****!). ça a été vraiment très dur, mais je voyais chaque jour comme une victoire, comme un pas de plus vers une guérison. Je ne me suis presque pas servi des bonbons, les patchs pendant environ 1 mois et demi mais ensuite j'ai dû arrêter car je ne sais pour quelle raison, ils se sont mis à me faire des allergies insupportables, alors qu'au début je n'avais pas de problème. aujourd'hui je me sers encore de ma cigarette électronique, mais peu (une cartouche de 1.5mL me fait une semaine); elle est nulle cette e-cig et c'est volontaire! :-) je ne risque pas de trouver le vapotage aussi voire plus cool que la cigarette, car mon but est de me séparer aussi de la e-cig. Clairement pour moi, la partie n'est pas encore gagnée, car ma tête n'arrive pas à faire le travail de me détacher de cette cigarette, je me vois encore comme une fumeuse, je suis encore une septique des maladies causées par le tabac alors que j'ai les preuves sous le nez, je trouve toujours l'odeur agréable quand je croise un fumeur... Le chemin sera encore long et je suis restée dubitative concernant le livre d'Allen Carr, peut-être qu'il me faudra une relecture. Mais n'empêche "Je l'ai fait! , j'ai arrêté de fumer!" A moi la liberté de ne plus me préoccuper de mon stock de cigarettes, des horaires d'ouverture du bureau de tabac, d'être suffisamment en avance à un rendez vous pour avoir de le temps de "fumer ma clope", de laisser ma fille toute seule dans le salon pendant que je sors fumer dans le jardin, et j'en passe. Beaucoup de grands changements pour moi, j'ai un peu l'impression de m'être menti à moi-même depuis toujours et d'être aujourd'hui en train de construire une autre vie, que cette fois j'aurai choisi...
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priscillia (35 ans)
Nationalité francaise
22 août 2019

Bonjour à tous, Je voulais apporter mon témoignage et recevoir du soutien. Je suis en couple depuis 18 ans maintenant nous fumons tout les 2. nous avons bcp fait la fete ensuite ns sommes devenu parents et j'ai décidé d'arrêter de fumer environ 1 et demi après la naissance de ma fille et avant tout pour elle et ensuite pour moi. Car ne voulais que ma fille se retrouve avec aucun parents d'ici 10,20 ou 30 ans. Mon amis n'a pas suivi l'arrêt de la cigarette, il a essayer mais sans grande conviction. Moi j'ai arrêter il y a deux ans du jours au lendemain sans rien, juste moi. aujourd'hui mon couple subi mes humeurs différente d'avant et je pense que j'ai d'avantage grandi ou pas comparé a mon amis enfin je ne sais pas. mais je n'ai de patience en vers lui je dis les choses sans attendre alors qu'avant je ne disais rien et je laisser couler l'eau sous les ponts je me disait ça va passer............. alors du coup je me dit que je devrai peut être me remettre a fumer pour avoir de nouveau des moments partager avec mon amis et arrêter de m 'énerver pour rien
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patricia (51 ans)
Nationalité française
17 décembre 2017

J'ai commencé à fumer au collège comme beaucoup. j'ai adoré fumer c'était un vrai plaisir et je n'ai jamais essayé d'arrêter. Ma consommation était d'un paquet par jour. En février 2014, je propose à mon mari d'aller voir une nouvelle boutique de vapot installée dans notre ville. J'entendais beaucoup parler de la cigarette électronique mais sans aucune conviction. Dans la boutique elle ne explique comment cela fonctionne, les dosages, les parfums, etc...Nous décidons d'investir dans une petite cigarette pour tester. Je commence au dosage de 12 ml de nicotine et je prends goût tabac. Je vapote dès que je l'ai acheté et vu que c'était le soir je n'ai pas pris de cigarette; Le souvenir que j'ai, c'est que le lendemain, je vais au boulot et comme d'habitude je prends mon paquet de cigarette et ma vapote... Je commence par la cigarette., je prends une bouffée, une deuxième...je la jette et l'écrase ! le goût m'a totalement dégoûté ! c'est la dernière fois que j'ai touché une cigarette. Pendant 3 mois j'étais à 12 ml , ensuite j'ai pris 6 ml pendant 1 an et demi et ensuite 0 ml jusqu'à il y a 4 mois où j'ai arrêté la cigarette électronique aussi. Aujourd'hui je ne fume plus, je ne vapote plus et je suis fière de moi et mes enfants sont heureux car je ne me rendais pas compte qu'ils souffraient énormément d'être dans le tabac tous les jours car je fumais partout, à la maison, en voiture... Mon mari qui fumait 1 paquet par semaine avait arrêté en même temps que moi , mais hélas, il a repris la vrai cigarette de plus belle . Par contre il fume dehors car j'ai dû mal à supporter la fumée. Merci à la cigarette électronique ! je n'aurai jamais arrêté sans elle.
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didir (33 ans)
Nationalité Française
12 octobre 2017

Bonjour, Je voulais simplement remercier l'équipe de ce site, et les gens qui témoignent. Après 17 ans de cigarette j'ai réussi à me lancer dans l'arrêt. C'est encore très récent et pour l'instant je comble le manque par une eCigarette à 12mg. Mais étant un ex gros fumeur (25 à 50 clopes rouges par jour) je n'avais jamais réussi à me passer de cigarette plus de 24 heures. Elle était omniprésente, le matin, au boulot, a l'apéro, devant le pc... Bref, elle était cette satanée béquille qui trompe le quotidien et vole les années.. J'ai passé plusieurs heures ici à lire des témoignages par moments bouleversants, souvent très instructifs tout comme les articles rédigés. Je suis désormais persuadé que je suis sur le bon chemin et que plus jamais ne retoucherai à ce poison. J'ai déjà le sentiment que c'est une erreur immense qui a volé une bonne partie de ma vie. Mais peu importe, qu'on arrête à 20, 35, 50 ou 60 ans le plus important c'est de réaliser qu'il reste une autre vie qui démarre après l'arrêt! Mon point de vue sur la cigarette et la difficulté à arrêter a changé radicalement ces derniers temps, et c'est principalement grâce à stoptabac.ch. Les illusions s'effacent les unes après les autres! Dès que j'ai un tout petit coup de mou et qu'une envie de fumer se pointe, je reviens ici inlassablement. En 5 min elle est partie et ma conviction est raffermie. Merci, amis suisses, je suis Français installé en Nouvelle Calédonie, et je vous remercie tous depuis l'autre côté du globe. Simple lecteur, si vous êtes ici, c'est que vous vous posez les bonnes questions et qu'un petit air révolutionnaire commence à sonner en vous. Foncez, il n'est jamais trop tard. Lisez les témoignages, documentez-vous sur ces pages, laissez ces anonymes vous ouvrir les yeux. A un moment, c'est comme si quelqu'un allumait la lumière: il n'y a plus de doutes et vous aurez la force de vous lancer. Bon courage à tous, bon rétablissement aux malades aussi. Cordialement,
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Marie-Laure (48 ans)
Nationalité française
29 décembre 2016

Cela faisait des mois sans doute même plusieurs années que je cherchais un moyen d'arrêter de fumer. Puis un jour lors d'une visite médicale professionnelle, le docteur me donna une photocopie avec le livre d'Allan Care "'c'est simple d'arrêter de fumer". La politesse me poussa à prendre ce papier mais sans aucune conviction. J'avais déjà tout essayé, les patchs, les médicaments et rien n'y faisait alors comment un livre pourrait venir à bout de cette dépendance. Je fumais environ 1 paquet par jour. Puis un jour j'ai malgré tout pris la décision d'acheter ce livre mais il resta encore un long moment dans mon sac sans que je ne regarde pas même la première page. Puis je fini par m'en saisir après tout je n'avais rien à perdre. Et je fus très étonnée de constater que je pouvais me passer de tabac et encore mieux sans aucun manque. C'était magique. Je n'en reviens toujours pas et du coup ne comprends pas que ce livre ne soit pas plus médiatiser. Sans aucun intérêt bien sûr je vous recommande d'essayer. Bien sûr je suppose qu'il faut que la motivation soit bien présente mais la situation du moment n'a quant à lui aucune incidence. J'étais moi-même dans des conditions qui au départ ne semblaient pas être bénéfique pour un essai et pourtant.... Courage à vous et partagez vos expériences
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steph (41 ans)
Nationalité francaise
17 janvier 2014

Salut a tous,je souhaite témoigner sur mon arrêt du tabac et du cannabis depuis 1 semaine.Tout d'abord j'ai commencé a fumer a 14ans ,idem pour le cannabis.Depuis maintenant 15 ans je fumait dans la journée 1 paquet de cigarette dont la moitié était des pétards.j'ai fini d'ailleurs a préférer les pétards que je fumait des le matin,aux cigarettes .j'ai quelques fois essayer d'arrêter de fumer sans réelle conviction.jusqu'à il y a une semaine ou j'ai décider d'arrêter définitivement,je n'y trouvait plus d'intérêt,a partir de la je me suis surpris moi même, c'est beaucoup plus facile qu'on ne le pense malgré mes deux addictions cela se passe plutôt bien,j'ai pas vraiment envie de fumer par contre je dors assez mal,et suis de mauvaise humeur et facilement irritable,je précise que je ne prend aucun substitut,j'attends seulement que ces mauvais effets disparaissent.je suis plutôt fier de moi, et ce que je souhaiterais partager ici ,c'est qu'il ne faut pas écouter ce que tout le monde dit sur la difficulté d'arrêter,avec de la détermination je trouve que cela est facile d'arrêter faut juste le vouloir vraiment,croyez moi !
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