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Aides et conseils pour les consommateurs d'alcool et leur entourage

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Aides et conseils pour les consommateurs d'alcool et leur entourage

Témoignages

Questionnaire d'évaluation du site Stop-alcool.ch

Merci de prendre 3 minutes pour répondre à quelques questions au sujet de ce site

Je bois trop
tintorojo (28 ans) - Nationalité francaise - 09 novembre 2016 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour, j'ai commence a boire a l'age de 14 ans, cela fait directement à force consommation, toute ma vie a était rythmé de fêtes, juste pendant deux ans où j'ai eu beaucoup de travail, je me suis calmée. Bizarrement, ce sont les années les plus saines que j'ai eues. Ma mère m'a fait vivre l'enfer avec son propre alcoolisme. Plus j'avance plus les periodes negatives de ma vie ont toute un lien. L'alcool. Des amis similaires n'ont pas fait l'affaire non plus. On se rend compte qu'on boit toujours plus que les autres surtout qu'on n'a pas de limite. Il y a ceux qui peuvent boire 2 verres et les autres comme moi qui n'arrivent plus a s'arreter. Je ne bois pas tous les jours, mais je socialise toujours avec de l'alcool. Ma vie sociale tourne autour de ça. Il y a toujours un pretexte à boire. Je ne peux meme plus compter le nombre d'hommes avec qui jai couché car j'etais saoule, à la recherche d'affection ou de valorisation personnelle. La plupart des disputes que j'ai eu avec mes compagnons, mes amis etait du a ma non sobriete, qui m'amene a un comportement trop intense et cela m'empeche egalement de trouve quelqun depuis plusieurs annees ou reduit mes chances et la duree de mon couple. Je ne sais plus comment avoir une vie sociale sans boire et pourtant je n'aime pas la personne que je suis lorsque je suis ivre. Je raconte ma vie, dit des choses que je ne devrait pas dire sur moi ou au autre. J'aime les histoires folles que cela m'apporte j aime l'ivresse, mais les gens que je rencontre en vivant dans cette vie de nuit n'ai vraiment pas glorifiante, n'y reellement tres interessante. Il m'a permis de fuir ma vie mes problemes mais apres plusieurs annees j'en suis toujours au meme point. Il est temps pour moi d'arrêter afin de cesser de re produire éternellement les mêmes erreurs et d'avoir une vie plus epanouissante. Je reve d'un verre de vin. Mais je dois apprendre a dire non, à ne pas avoir peur d'une nouvelle vie sociale sans etre bourée. J'ai peur de l'ennuie. Mais parfois ça me desole de voir que les gens peuvent me percevoir avec ma personalite alcoolique, il ne me connaisse meme pas sobre et pourtant je ne m'apprecie pas comme cela et je me demande d'ailleurs comment les gens peuvent m'apprecier. Je me vois comme deux personnes distinctes. Je ne veux plus être cette version sans limites, egoiste, egocentrique, devergonde qui m'as souvent mis dans des situations genante et dangeureuses. Les gens ne veulent pas de personne comme ca, je ne veux plus etre cette personne. Alors il faut que je me batte."
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alice (28 ans) - Nationalité France - 29 juillet 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour, j'ai 28 ans, et j'ai commencé à boire quand j'avais 18 ans. toute ma vie j'été dans les excès tout ce que je fais je le fait avec amour et passion et malheureusement je bois avec passion. J'ai toujours voulu être libre... mais je viens de comprendre que je ne le suis plus depuis plus de 10 ans maintenant, mon premier mariage est parti en vrille à cause de l'alcool je ne l'aimais pas donc je me soûlais tout les soirs, il ne voulais plus de mon alcoolisme et moi je ne voulais plus de son amour. je me suis très vite remariée , cette fois par amour mais j'ai l'impression d'aimer toujours l'alcool plus car lui au moins m'aime et est toujours la. présent simple des fois pas très cher, en terrasse ou à la maison dans des bistrot ou dans un parc. Mais voila, s'en ai trop et à 28 ans, je suis toujours belle et attirante , mais ma santé se détériore, et les lendemain matins je suis au bord de l'agonie (vraiment). mon Mari ne supporte plus mon alcoolisme même si lui aussi boit souvent mais il sait s’arrêter. PAS MOI si je commence il faut que j'atteigne le K O. sinon je deviens folle et très en colère, je peux me mettre en danger pour aller en rechercher, s'ajoute à cela mon travail, que je ne veux absolument pas perdre et qui m'ai vital. je suis perdu entre la vie parfaite que je m'imagine et que j'ai : un mari fou amoureux de moi, des parents extraordinaires qui comprenne mon pb même si notre religion je l'accepte pas et un travail au dela de mes attentes, mais voila, je me trouve intelligente capable de touts surmonter alors que c'est faux et j'en suis consciente. j'ai besoin de boire, soit la vodka dans le sac, soit la pinte en sortant qui se transforme en 5 ou 6 (voir plus les week end) et ca finit toujours mal. je veux être la femme parfaite et je le suis quand je ne bois pas. Et une fois je commence à boire je me dit que c'est ce que j'aime et que personne ne m’enlèvera ou m'interdira cette état. et pourtant le lendemain je vomis je ne peux pas bouger, je ne sors pas et passe mon week end au lit incapable de m'alimenter. je prend la décision d’arrêter mais 2 jours après dès que je me sens mieux rebelote. je suis fatigué c'est une drogue dur, car elle est partout... accessible et destructrice (à 28 ans je commence à avoir une très mauvaise mémoire) j'ai trop écrit je sais mais j'ai très mal aussi... je ne sais pas comment m'en sortir mais je sais que je trouverai en moi la force. Pour tout ceux qui me lirons, courage ! pensez à ce message et dite vous su'une jeune filles de 28 ans mariée et stable avec une très bonne situation va finir par se détruire a cause de cette addiction. je m'en rend compte mais je n'arrive pas à décrocher j'irais voir un medecin et j'esper qu'il m'aidera. ne vous detruisez pas ... pensez au lendemain je le ferais... "

Rachsamira (34 ans) - Nationalité Marocaine - 17 décembre 2021 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Je bois depuis bientôt 15 ans, je bois pour discuter avec les hommes et ceci depuis toute ma vie d adulte, je n'ai jamais connu une relation en toute sobriété, je vis deux vies différentes, la vie où je consomme et je ne peux pas arrêter, où je donne l'impression d'une femme fragile en manque affectif et sûrement des complexes paternelles et j'envoie en éclat l'image de début " femme forte équilibrée, drôle et attachante',bref à cause de l alcool on me quitte depuis 15 ans de la même façon, on prend la fuite sans un mot, la chose que je peux bien comprendre, quand on a affaire à une déséquilibrée, on discute pas grande chose. Ma vie sociale et soit disant affective tourne autour de l'alcool et je n'arrive pas a m empêcher de faire autrement et le pire c'est que j'entretiens depuis 15 ans un rapport sadomasochiste avec l'alcool c'est à dire, avant de boire je prends tte sorte de résolution pour arrêter définitivement et une fois je rencontre qqn ou je veux sortir ça doit être forcément dans un bar puis je sens la culpabilité et la peur du coup j'enchaîne l'alcool et je refuse de dormir ou de manger pour faire perdurer l'effet et là où je suis fragile, alcoolique et on me quitte, puisque je ne sais pas comment arrêter et évidemment par la suite je me retrouve seule avec les dégâts financiers et émotionnels et psychologique " une forte crise de panique qui dure 24 h après la consommation et après je retourne en position de force et ainsi de suite et je suis piégée dans ce cycle vicieux depuis 15 ans et ça dure et j'ai peur trop peur de la suite... Courage à nous tous et surtout à nous toutes"
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Anonyme - Nationalité Française - 14 novembre 2021 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Je bois depuis maintenant 15 ans. Je voudrais arrêter cette consommation, mais je n'y arrive pas. J'ai déjà arrêté pendant quelques mois suite à un choc émotionnel mais j'ai repris depuis et de plus belle. J'ai peur de faire un état de manque. Je travaille, et je ne voudrais pas que ça m'arrive au travail. J'ai lu qu'on pouvait faire un Delirium tremens, et de tomber dans le coma. J'ai envie d'arrêter, ma santé est mauvaise à cause de l'alcool, mon foie fatigue, mes enfants ne veulent plus me voir mais malgré tout ça c'est plus fort que moi. L'appel de la bouteille. J'en peux plus. Pouvez-vous m'aider en partageant vos expériences."
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gloria (28 ans ans) - Nationalité France - 27 juillet 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour, j'ai 28 ans, et j'ai commencé à boire quand j'avais 18 ans. toute ma vie j'été dans les excès tout ce que je fais je le fait avec amour et passion et malheureusement je bois avec passion. J'ai toujours voulu être libre... mais je viens de comprendre que je ne le suis plus depuis plus de 10 ans maintenant, mon premier mariage est parti en vrille à cause de l'alcool je ne l'aimais pas donc je me soûlais tout les soirs, il ne voulais plus de mon alcoolisme et moi je ne voulais plus de son amour. je me suis très vite remariée , cette fois par amour mais j'ai l'impression d'aimer toujours l'alcool plus car lui au moins m'aime et est toujours la. présent simple des fois pas très cher, en terrasse ou à la maison dans des bistrot ou dans un parc. Mais voila, s'en ai trop et à 28 ans, je suis toujours belle et attirante , mais ma santé se détériore, et les lendemain matins je suis au bord de l'agonie (vraiment). mon Mari ne supporte plus mon alcoolisme même si lui aussi bois souvent mais il sait s'arreter. PAS MOI si je commence il faut que j'atteigne le K O. sinon je deviens folle et très en colère, je peux me mettre en danger pour aller en rechercher, s'ajoute à cela mon travail, que je ne veux absolument pas perdre et qui m'ai vital. je suis perdu entre la vie parfaite que je m'imagine et que j'ai : un mari fou amoureux de moi, des parents extraordinaire qui comprenne mon pb même si notre religion je l'accepte pas et un travail au dela de mes attentes, mais voila, je me trouve intelligente capable de touts surmonter alors que c'est faux et j'en suis consciente. j'ai besoin de boire, soit la vodka dans le sac, soit la painte en sortant qui se transforme en 5 ou 6 (voir plus les week end) et ca finit toujours mal. je veux être la femme parfaite et je le suis quand je ne bois pas. Et une fois je commence à boire je me dit que c'est ce que j'aime et que personne ne m’enlèvera ou m'interdira cette état. et pourtant le lendemain je vomis je ne peux pas bouger, je ne sors pas et passe mon week end au lit incapable de m'alimenter. je prend la décision d’arrêter mais 2 jours après dès que je me sens mieux rebelote. je suis fatigué c'est une drogue dur, car elle est partout... accessible et destructrice (à 28 ans je commence à avoir une très mauvaise mémoire) j'ai trop écrit je sais mais j'ai très mal aussi... je ne sais pas comment m'en sortir mais je sais que je trouverai en moi la force. Pour tout ceux qui me lirons, courage ! pensez à ce message et dite vous su'une jeune filles de 28 ans mariée et stable avec une très bonne situation va finir par se détruire a cause de cette addiction. je m'en rend compte mais je n'arrive pas à décrocher j'irais voir un médecin et j'espère qu'il m'aidera. ne vous détruisez pas ... pensez au lendemain je le ferais..."
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Anonyme (29 ans) - Nationalité Francaise - 16 janvier 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonsoir à tous c est la première fois que je raconte mon histoire mais j en ai besoin et je prends surtout conscience de ma situation. J ai commencé à boire à 19 ans quand j ai fait la connaissance de mon ex. Mon ex buvait énormément et moi aucune goutte d alcool je n aimais pas ça et ne comprenais pas pourquoi il aimait ça . Un jour j ai goûté et on va dire que c était le début de la dépendance. Je consommais avec lui le plus souvent en quantité normale. Ensuite j ai consommé seule une bouteille de vin et de la bière . L alcool m a isolé et fait du mal à mon entourage. Ma famille le voit mais personne ne dit rien. On préfère se taire que de m en parler, je sais que ma famille sait que j ai un pb car j ai souvent passé des coups de fils complément ivre. C est seulement le lendemain en regardant dans mon historique des appels que je m en compte que j ai appelé ma mère pendant 40mn ou ma soeur ou encore une amie ... j ai tellement fait du mal aux personnes que j aime le plus. J ai tenté plusieurs fois d arrêter et ça tenait seulement quelques semaines mais je rechutais. Aujourd’hui je prends la décision de ne plus toucher une goutte d alcool car j en ai marre je veux avancer je suis une personne qui a des projets et je veux les réaliser tout simplement . L alcool sans modération nous prive de toute volonté et d envie. C est bizarre mais même quand j étais complètement ivre je me suis toujours dit qu un jour j allais arrêter et que je ne vais pas toute ma vie boire et je crois que le moment est arrivé. "
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Galina (43 ans ans) - Nationalité française - 14 novembre 2019 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Alcool et prise de poids. Bonsoir tout le monde; Mon post est peut-être hors sujet, car il parle surtout de poids; mais l’alcool y est tout de même mentionné. Cependant, si jamais ma publication ne convient pas (car n’a pas sa place sur le groupe), vous pouvez le supprimer; pas de souci. D’avance, je vous prie de m’excuser pour mon pavé 😙😙 Plus jeune, j’ai toujours été mince; pas filiforme car ayant tout de même des formes, mais j’étais mince; je mettais du T 38-40. Et dire qu’à l’époque je me trouvais déjà trop grosse... 😕 Par contre, lorsque j’étais enfant, j’étais maigre et cela me complexait; d’ailleurs j’essuyais toutes sortes de moqueries: sauterelle, squelette; etc. À la puberté, j’ai eu des formes. À 15 ans, mes frères me charriaient souvent sur ma culotte de cheval, et me disaient que j’avais de grosses fesses. Des frères, c’est normal qu’ils taquinent leur sœur; lol. Mais ma mère me mettait la pression également, en me disant que j’avais grossi (..pris des formes; ce, dû à la puberté) et que lorsque j’étais assise ça me faisait de grosses cuisses et cela n’était pas joli; elle me disait de faire attention, sans quoi je serai grosse plus tard. Du coup, à partir de cet instant, j’ai commencé à complexer sur mon physique 😕 À 16 ans, je pesais 50 kg (pour 1m60); c’est sûr, j’étais vachement grosse.. En 2002 (j’avais alors 26 ans), j’ai connu pendant quelques mois une histoire amoureuse chaotique. Je ne vais pas entrer dans les détails, car ce n’est pas le sujet, mais j’étais tellement stressée (j’avais des sentiments pour l’homme, beaucoup plus âgé que moi, avec qui je sortais à l’époque; mais lui étant mal dans sa tête, et avait des soucis d’alcool également, me faisait tourner en bourrique) que je ne mangeais presque plus, et du coup en 3 mois j’ai perdu plus de 10 kg; j’étais descendue en T 36 et pensais 50 kg. Après la rupture (au bout de 4 mois), j’ai repris une alimentation normale (..je me goinfrais même; comme si je voulais compenser ces 4 mois « d’anorexie ») et ai repris un peu de poids; mais c’était stable, et ce n’était que 3-4 kg. Fin 2004, j’ai connu mon compagnon. J’ai été aussitôt bien avec lui, et nous faisions souvent des dîners entre amis; étant tous épicuriens dans l’âme (aimant la bonne bouffe et le bon vin). De même que mon copain et moi nous nous faisions plaisir, lorsque nous étions juste nous-deux. À cela s’ajoutait la pilule que j’ai commencé à prendre. Les bonnes agapes, plus le bon vin et la pilule m’ont fait grossir; j’ai enflé même!! Je n’étais pas obèse, mais j’étais arrivée à 65 kg (pour 1m63); ayant désormais des bourrelets et mettant du T 42, je n’étais pas du tout bien dans ma peau. Cela me flinguait le moral 😕 Mais nous faisions toujours les bonnes bouffes; et puis j’étais entrée dans de mauvaises habitudes en consommant de la bière et du vin. J’ai toujours bien aimé boire un coup, mais là c’était plus régulier; sans pour autant entrer dans l’ivresse, ni quoi que ce soit, c’était surtout pour être bien. Mais bon, nous savons tous que l’alcool est néfaste pour la silhouette. En plus de la dépendance que cela engendre... En 2009, j’ai arrêté la pilule. En parallèle, j’ai commencé à faire attention; je n’ai pas fait de régime (je n’ai jamais suivi de régime), car souvent les régimes ont un effet yoyo. Simplement, désormais je faisais attention en mangeant plus léger le soir, en favorisant les légumes aux féculents. Mais surtout, j’ai considérablement réduit ma consommation d’alcool (bière et vin); je m’autorisais un plaisir par semaine, mais c’était raisonnable et si je buvais une bière à l’apéro (lorsque nous recevions du monde) je m’arrêtais à une seule bière, et puis je ne mangeais quasiment pas de biscuits apéritif. J’ai également cessé tout grignotage entre les repas (je n’ai jamais trop grignoté), ainsi que les boissons sucrées type sodas et coca (..là aussi, je n’ai jamais trop consommé de boissons sucrées). Le résultat s’est vite fait ressentir; j’ai perdu du poids. Je suis même descendue (en 2011) à 60 kg. Je pouvais remettre des vêtements qui ne m’allaient plus depuis des années (car j’avais pris du poids), j’avais retrouvé la coquetterie; tout le monde me disait que j’avais maigri. J’étais contente!! Mais à certains moments, les complexes reprenaient le dessus, et je me sentais encore trop grosse; je voulais retrouver mon poids de forme, soit 55 kg. Ah, comme j’aimerais, aujourd’hui, être grosse comme en 2011!!! 😕 Fin 2014, j’ai commencé à être mal. Mon frère jumeau n’allait pas bien et avait fait 2 TDS 😢 ; mais aussi, des souffrances vécues dans l’enfance remontaient à la surface, et au boulot j’étais à cran (mauvaise ambiance et plusieurs collègues me prenant comme bouc émissaire). Début février 2015: notre petite chatte tant aimée s’est sauvée, et n’est plus rentrée 😢 Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase; du coup, j’ai fait une sorte de burn out et ai été en arrêt maladie. J’ai été 8 mois 1/2 en arrêt maladie 😢 J’ai consulté pendant plusieurs mois un médecin psychiatre; mais il m’a fait plus de mal que de bien, car me cassait (remarques sur mon physique, ma voix, ma façon de me tenir et ma gestuelle; etc.) à chacune des séances 😢 Durant ces 8 mois 1/2 d’arrêt maladie, j’ouvrais presque chaque soir une bouteille de vin (mon copain buvait tout au plus 1 ou 2 verres; et moi je m’enfilais le reste), et de la bière. En parallèle, je concoctais souvent un bon dîner. C’était une façon de me réconforter; partager un bon repas avec mon ami et buvant. Je ne buvais pas jusqu’à l’ivresse, mais j’avais besoin de la bière et du vin comme réconfort. Forcément, durant ces 8 mois 1/2 je me suis empâtée 😙😙; ce, à cause de l’inactivité (car en arrêt maladie pendant plusieurs mois), aux repas riches le soir et à l’alcool. En reprenant le boulot, une ou deux collègues m’ont dit que j’avais grossi. Je ne me suis pas pesée (ni même aujourd’hui, soit 4 ans plus tard. De plus, nous n’avons pas de pèse-personne à la maison), mais j’étais redevenue comme avant que je ne commence à faire attention (sur l’alimentation et les boissons alcoolisées) en 2009 😕😕 J’ai repris le boulot en octobre de cette même année (2015); motivée, volontaire et voulant plus que tout remonter la pente. Mais les mauvaises habitudes (repas riches le soir, vin et bière) étaient ancrées. Difficile de se défaire des mauvaises habitudes... En mai 2016 (deux mois avant mes 40 ans), mon frère jumeau a mis fin à ses jours; et quatre semaines plus tard mon cousin 😢 J’étais très proche de mon frère et de mon cousin 😢 Du coup, j’ai été 2 mois 1/2 en arrêt maladie; et là aussi trouvais du réconfort dans la bonne bouffe (repas riches le soir) et l’alcool (bière et vin; je n’ai jamais aimé les alcools forts). Les mauvaises habitudes étaient bien ancrées; et ce, jusqu’à aujourd’hui 😙😙😙😕 Comme je vous l’expliquais dans ma publication de présentation, afin de me destresser, surtout lorsque je ne bosse pas le lendemain, j’ai la fâcheuse habitude de boire de la bière ou/et d’ouvrir une bouteille de vin pour le dîner. Encore une fois, ce n’est pas dans le but de m’enivrer; c’est tout simplement pour me détendre. L’alcool est un bon antidépresseur!! Mais l’alcool est insidieux également, et sans nous rendre compte nous basculons vite dans la dépendance 😕😕 Je n’ai pas envie d’être accro, puis de devenir une épave (..désolée pour l’adjectif) 😕😕😕 C’est pourquoi, j’ai décidé de me reprendre en main. Je me suis déjà dit cela à maintes reprises; de même que les soirs, assise sur mon banc dehors avec mon énième verre de vin ou ma 3ième bière et ma clope, où je me promettais intérieurement, en culpabilisant, que le lendemain j’arrêterai (ou du moins, réduirai et ne consommerai plus qu’une fois par semaine)... Mais cette fois, j’ai vraiment envie de tenir ma promesse!!! J’ai envie de me sentir à nouveau bien dans ma peau et mon corps (..même si j’ai toujours eu des complexes et un manque de confiance en moi). J’ai envie d’être à nouveau coquette, et de remettre des fringues que j’aimais tant avant. Certes, je n’ai jamais eu le ventre plat et n’ai jamais été filiforme, mais j’ai envie de redevenir plus mince, et que les gens me disent en me voyant « wo, tu as maigri ». Et puis aussi, qu’est-ce que c’est agréable de ne pas culpabiliser, en se couchant, d’avoir bu. Et de se réveiller le lendemain fraîche et dispose; et non avec un mal de crâne et étant vaseuse. Mais aussi de se dire « ce soir, je ne bois rien »; et paf, arrivée au soir, finalement s’ouvrir une bière puis du vin... Aujourd’hui nous avons eu une journée triste au boulot; un résident (encore très jeune) est décédé (je suis aide-soignante et travaille dans un EHPAD). C’était tout-à-fait inattendu; du coup, ça nous à tous foutu un coup 😢 De plus, c’est le troisième décès en l’espace d’une semaine. Lorsque j’ai eu une journée triste ou stressante au boulot, une fois rentrée (le soir) j’ai pour habitude de m’ouvrir une bouteille de 33 cl de bière; puis 2, puis 3... Dans le but de destresser. Puis, je me couche culpalisant et me sentant grosse; et le lendemain je me réveille avec un mal de crâne. ...mais ce soir, je n’ai rien bu; mon ami avait portant remonté 4 petites bouteilles de bière (un pote est venu manger à la maison; quant à moi, j’ai travaillé jusqu’à 21h). Demain je suis en repos, ainsi que vendredi; ben demain soir je ne boirai pas non plus. Ce, même si je suis en repos après-demain. J’ai vraiment envie de retrouver une belle silhouette, et de ne plus être vaseuse ce pour avoir picolé la veille!!! Voilà; pour mon pavé. Je vous remercie infiniment de m’avoir lue 😘😘 Bonne nuit à vous 😘😘😘 PS: et puis j’ai remarqué une chose: lorsque je n’ouvre pas de bouteille de vin (ou de bière), je ne ressens pas l’envie de boire. Mais il suffit que je boive un verre, cela ne me suffit pas et j’aurai besoin d’un second verre, et ainsi de suite.. Donc moralité de l’histoire: ne pas ouvrir de bouteille 😉"
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marlex (55 ans) - Nationalité Suisse - 14 août 2023 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonsoir, J'ai perdue l'homme de ma vie le 7 .12.2019 Et depuis ce jour je n'arrive plus a me coucher sans ayant bu de l'alcool pour pouvoir m'endormir. Je voudrais que tout cela s'arrête . J'ai vu des psychologues pendant 6 mois qui mon bien aidée a accepté le deuil , mais jamais je n'ai parlée de ma dépendance a l'alcool. Et maintenant je voudrais stopper tout cela. S'il vous plaît dites moi que dans ce monde quelqu'un peut m'aider?? Merci a vous de me lire et espére une bonne réponse"
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Anonyme (39 ans) - Nationalité France - 21 janvier 2021 - Partager sur: Facebook - Twitter
"Bonjour à tous et à toutes, J'ai arrêté de boire définitivement il y a 3 jours. J'avais déjà fait des tentatives mais qui n'ont jamais duré précédemment. Cette fois ci, j'ai pris davantage conscience que j'ai un réel problème avec ça Car en plus de ça, quand je bois, j'ai envie de me droguer.... Dernièrement, j'ai eu une altercation avec mon ami à cause de ça et ça sent pas très bon. Je sens que je peux réellement le perdre par la faute de l'alcool. J'ai commencé à boire quand j'avais une vingtaine d'années, pour des raisons festives mais aussi sexuelles. En effet, l'alcool m'aidait à avoir plus de courage pour passer à l'acte. Puis s'en est suivi une consommation plus régulière, en sorties, puis seul, puis en journée seul.... Les lendemains de culpabilité, de remords, de regrets et tout ce que cette merde m'a apporté dans ma vie, je n'en veux plus ! Je me rends compte que l'alcool n' est pas mon ami... Loin de là. Où du moins il l'était, c'était un ami.. Mais un ami toxique, un ami qui ne me voulait pas du bien. Je me débarrasse aujourd'hui de ce fardeau, j'ai un peu peur je dois l'admettre, peur de me retrouver seul... Sans la bouteille. Mais je sais aussi que c'est un mal (au début) pour un bien. Un bien être quotidien à chaque moment, dans la sobriété. Je veux retrouver cet état d'avant la connaissance de ce pseudo ami très toxique et je vais y arriver Tout le monde peut y arriver Je vous souhaite à tous une très belle et longue vie heureuse sans l'alcool "
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Anonyme (47 ans) - Nationalité Suisse - 19 septembre 2020 - Partager sur: Facebook - Twitter
"J'ai rechuté, une fois de plus, il y a quelques jours de cela. Et cette fois-ci, tout est parti en vrille à une vitesse hallucinante. J'ai bu jusqu'à plus soif, j'ai erré dans la rue, dans des parcs, j'ai mis les miens dans une énorme inquiétude, ne répondant pas à leurs messages, jusqu'à ce que mon téléphone tombe en rade. J'avais bien trop honte pour rentrer, je ne me sentais pas la force d'assumer ce que j'avais fait, d'afficher mon ivresse devant mes enfants, de les décevoir une fois de plus. J'ai continué mon errance, m'achetant encore une bouteille dans une épicerie de quartier, pour finir dans une chambre d'hôtel. En fuyant ainsi, j'ai bien sûr aggravé mon cas. Mes enfants sont en colère de mon comportement, ils en ont marre, tout comme mon mari d'ailleurs. Dans sa voix, lorsque je l'ai finalement appelé, une fois que j'étais à l'hôtel, après des heures d'errance, j'ai senti qu'il n'irait pas plus loin, si je continuais ainsi. Je n'ai pas encore revu les miens, cela fait maintenant quatre jours. J'avais besoin de m'isoler, de me reposer aussi, de reprendre mes esprits, de recommencer à travailler les Etapes du programme des AA, d'assister en ligne à quelques réunions, de fixer des rendez-vous avec mon alcoologue et ma psy. Je relance la machine et j'espère y arriver enfin. Je suis bien entourée, bien encadrée, je comprends les mécanismes qui m'on conduite à cette situation l'autre jour, je sais que je ne peux pas boire et pourtant, je le fais. J'ai parfois l'impression que l'alcoolisme est une fatalité, une spirale infernale dont on ne peut sortir. Il faut dire que mon père est mort de ça."
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