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Questionnaire d'évaluation du site Stop-alcool.ch
Merci de prendre 3 minutes pour répondre à quelques questions au sujet de ce site
"Cela fait maintenant 7 ans que je n'ai pas bu d'alcool. J'étais à l'époque "sur le fil" : une situation qui pouvait basculer gentiment et sournoisement dans la dépendance si une réflexion n'était pas menée. Pour imager mon choix de 2014, j'ai mis dans une balance tous les aspects de ma vie. (Famille, travail, loisirs, santé, projets) qui faisait pencher la balance largement du côté positif. Ensuite j'ai ajouté l'alcool dans la balance et cette dernière a rapidement déplacé l'aiguille dans le côté négatif. Avec ce constat, c'est sans hésitation que j'ai pris l'option de l'abstinence pour préserver tout ce que j'avais et qui me rendait heureux. Après ces 7 années d'abstinence et un peu de recul, il n'y a eu que des effets positifs dans le choix que j'ai fait en 2014. Je ne peux que vous encourager à persévérer dans votre combat pour retrouver le plaisir de la vie. Frédéric "
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"Guéri de l'alcoolisme grâce au baclofène Bonjour, Je viens témoigner de ma guérison d'un alcoolisme de presque 15 ans. J'avais essayé l'abstinence avec beaucoup de volonté mais toujours avec des rechutes successives. Un jour j'ai découvert un site centré sur le baclofène. Je m'y suis inscrit. J'ai commencé mon traitement et on m'a guidé pour prendre le traitement grâce au forum animé par des gens guéris. J'ai eu quelques effets secondaires mais je me suis accroché. Et aujourd'hui je suis totalement libéré de mon addiction. C'est juste incroyable car je ne bois que deux verres de vin et après je n'ai plus du tout envie d'enchaîner. Les idées obsédantes de l'alcool m'ont quitté et je suis très heureux de ma nouvelle vie. Voilà, je voulais partager mon témoignage. Si ça peut aider quelqu'un ici j'en serai très heureux"
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"bonjour,à tous,alors mon début dans l'alcool remonte à mon adolescence,après avoir vu durant toute mon enfance,mes parents boire durant les repas(qui se finissaient toujours très mal ) puis prendre l'appéritif tous les soir,ce qui me paraissait normal ,vu que je n'avais pas d'autre modèle familial de comparaison.vers l'age de 14 ans avec les copains l'été,on buvait beaucoup lors de soirée,puis il y a eu le permis de conduire et l'occasion d'aller boire ailleurs,en boite de nuit en soirée ,etc,je remercie d'ailleurs le ciel d'etre encore en vie après avoir conduit dans des états inimaginables,ce qui m'a couté d'avoir fait des tonneaux en voiture avec mon frere et mon meilleur ami dans la voiture...puis mon père decede a cause de l'alcool,tous les organes hs..je m'installe avec ma copine vers mes 22 ans,et là ,inconsciament,je reproduit exactement le schéma familial que j'avais connu,c'est à dire de prendre l'apperitif tous les soirs,en plus des soirées toujours très arrosées du week end..c'est 2 ou 3 pastis le soir,j'ai 34 ans et il y a encore un moi j'en était à 1,5 litre de pastis par semaine + une quinzaine de bières et 2 bouteilles vin...le fait de prendre 4 ou 5 pastis le soir ne me choquait pas en tant que consommation,mais après avoir commencé a avoir des problèmes de saignements abondants en allant aux toilettes,je me suis dit qu'il fallait arreter tout ça,je réduit donc ma consommation,et je me rend compte des bienfaits que cela procure,je ne suis plus completement creuvé le matin,j'ai moin de cernes,je me sens + concentré plus saint...et je passe les épisodes houleux lors de repas de famille qui se sont mal passés à cause de l'alcool,et ma sœur qui me disait devant tout le monde "tu es exactement comme papa" ,sans doute avait elle raison,je m'en rend compte aujourd'hui...maintrenant,le soir,mes 2 ou 3 verres me manquent je dois l'avouer,je prend un kir et puis c'est tout...comme je n'ai jamais cherché à comparer ma consommation avec les autres,je me suis toujours dit qu'il y avait pire que moi,je ne sais toujours pas si c'était si énorme que cela,mais mon corps avait commencé à tirer la sonnette d'alarme...je pense que c'est un bon choix,dans tous les cas..."
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"J'ai tendance à boire le vendredi après ma semaine de travail je quitte à 14h30 et je passe au magasin chercher une bouteille de whisky je bois quelques verres après je me couche souvent vers 18h00 ceci m'inquiète car sa m'arrive souvent le lendemain je me sensens vraiment pas bien sa arrive seulement le vendredi mais je voudrais que cela cesse j'ai peur que sa arrive d'autres jours dans la semaine si vous pouvez m'aider je serai rassurer merci de votre réponse "
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"Bonjour, J’ai 64 ans, j’ai toujours consommé de l’alcool. Ces derniers temps, je constatais que j’en consommais beaucoup trop et je souhaitais réduire ma consommation. Je ne souhaitais pas faire appel à des professionnels de la santé car je considère que c’est un problème personnel et que je devais le régler moi même. L’abstinence n’était pas envisageable. Mon quotidien : une bière en fin de matinée, deux verres de vin le midi avec une entrée de produits de la mer pour justifier la consommation de blanc, l’équivalent de trois verres standard de whisky consommés dans une canette de bière pour faire illusion, deux canettes de bière pour dissiper l’haleine chargée de whisky puis deux verres de vin au repas. Vu les tableaux publiés sur votre site, je fais partie de la population à risques. J’habite la campagne et le déplacement en véhicule est indispensable. Quand, je dois me déplacer, je le fais le matin. La peur du gendarme me freine dans ma consommation, aussi quand je dois prendre mon véhicule, je fais en sorte de ne pas dépasser la limite d’alcool autorisée en France. J’appréhende toujours d’avoir à prendre mon véhicule de façon impromptue. J’avais remarqué que ma mémoire flanchait : certains jours, je ne me souvenais pas trop de la soirée précédente et j’étais souvent obligé de revenir sur des passages de livres lus la veille et dont j’avais perdu le fil. Exceptionnellement, des idées de suicide ou de divorce me taraudaient, heureusement, je n’ai pas donné suite à ses idées malfaisantes. En juin, lors d’un séjour en Grèce, en groupe, lors d’une soirée arrosée, j’ai eu une rupture partielle du tendon d’Achille. Nous bénéficions de la formule tout compris, ce qui me convenait très bien. Je me suis fait opérer à mon retour. Entrée à l’hôpital en cours d’après midi et sortie le lendemain matin. Sur ce court séjour, je n’ai bien sûr bu que de l’eau et je n’ai pas ressenti le besoin de boire de l’alcool. J’ai pensé que c’était l’occasion de réduire ma consommation. Dans ma recherche d’aide à cette décision, j’ai retenu votre site : j’ai fait un bilan et cela m’a bien impressionné. Je ne bois plus d’alcool entre les repas, je m’accorde un verre de vin par repas. Bien sûr en cette période, les occasions sont nombreuses, mais je m’oblige en comptabilisant ma consommation à limiter celle ci. Je suis surpris de la facilité avec laquelle j’ai réduit ma consommation : étais-je prêt ? Cela va-t-il durer ? J’ai commencé le 5 juillet. Je souhaite remercier les concepteurs du site qui m’ont bien aidé dans ma démarche. Cordialement. gobyve "
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"bonjour je témoigne pour la 2 eme fois depuis mon premier témoignage quelque changement j'ai réussi a diminuer ma consommation la je vais me lancer a allez voir les AA pour discuter face a face avec plusieurs personnes dans notre cas moi je dit faut pas se voiler la face quand on a pris l'habitude de boire et que l'ont apprécient ses qu'on a un problème d'alcool chacun a un stade dans la boisson a nous de le trouver et de réparer pas facile mes pas le choix sinon vous savez comme moi se qui nous attends au bout du compte la MORT donc je pense qu'il faut se battre a fond sans lâcher prise a bientôt pour une autre réponse et courage a tous"
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"Pour ma part, je ne sais même pas par où et comment commencer ! J'ai commencé à boire il y ' a 20ans maintenant. Avec mon ancien compagnon nous buvions du blanc pétillant auquel nous rajoutions du sirop... (pendant presque 6ans, le temps de notre relation) l'alcool est d'ailleurs un peu la cause de cette rupture mais à la limite c'était mieux ainsi. Pendant ma période de célibat j'ai continuer à boire seule, ca commençait par une bière après le travail puis du mousseux rosé jusqu'au couché... j'ai tellement abusé que ca m'est arrivé de consommer ma bière en conduisant (je prenais de cours de danse à l'époque donc sur le chemin je prenais "mon apéro") quelle inconscience... Il y'a 3 ans lors d'un scan abdominal tout à fait banal je découvre que j'ai le foie gras ! Pas étonnant non plus. Depuis je me bat pour contrôler cette consommation. Pour donner un ordre d'idée j'achète 2 cubis de rosé de 3L par semaines et je me les enfiles tranquille toute seule. Mon conjoint n'est pas vraiment conscient de mon problème puisque je suis tellement habituée que je ne suis pas non plus enivrée tout les jours. Mais je ne suis pas heureuse ! pourquoi l'alcool gère ma vie ? pourquoi je suis pas une personne normale ? sans arrêt je me rabaisse et dénigre mon manque de volonté. J'ai voulu essayé de réduire pensant réussir toute seule a dire non à mon cubi.... rien y fait ! s'il est dans mon frigo j'en boirait ! Sauf que là j'ai décidé de prendre ma santé en main. Un foie on en à qu'un... et commençant à ressentir des douleurs je ne veux pas mourir d'une cirrhose ! ca fait 2 jours que j'ai rien bu ! ca parait ridicule mais je crois qu'en 20ans cela ne m'est quasiment j arrivé. 2 jours où je me sens moi même, forte de ce petit combat que je mène seule (la honte est présente, on en parle pas) mais la joie que je ressens du coup, je ne peux pas la partager non plus puisque personne ne sait. Je suis persuadée que je vais y arriver car j'ai la volonté. J'arrive à ne plus acheter mon rosé (1er grand pas) c'est juste une question d'habitude, casser l'habitude de sauter sur mon verre a 17h quand je rentre jusqu'au soir 21h30 (l'heure d'arrêt que je m'étais fixé) jusque là j'essayais de contrôler ma consommation, là je me fixe l'arrêt. (pas total mais je me dis que si j'y arrive la semaine déjà à rien boire c'est une petite victoire) je suis pas une pro des rédactions ;-) lol mais j'espère que mon témoignage servira "
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